liam reiner rosenhart ; 16 ans (3/3, poisson) ; helvelle ; aromantique pansexuel ; 6A ; là depuis ses 10 ans ; donc 6 ans d'ancienneté ; histoire et langage druidique en option ; fils de sorcier ; voix en catalyseur ; la magie ne l'intéresse que pour retrouver son père et lui prendre la vie ; a trouvé le style vestimentaire d'ambrose douteux ; ft : kaworu (evangelion)
la contenance est naturelle à chacun de ses mouvements de doigts. on devine le long d'une pâleur blême, d'une forme longiligne, une présence discrète et l'esquisse de plomb. la moindre des choses le concernant se contrôle, se meut dans une esthétique qui lui est propre, juste assez cruelle pour se laisser désirer. liam a les silences maniérés, les cils qui battent au rythme de chacune de ses respirations - on se délecte de sa tendresse timide, du portrait réservé aux lèvres feintes mordillées à chacune de ses hésitations.
seulement non, il n'y a des autres et de lui-même personne d'aussi certain que liam. son tout se retient par souci de s'éreinter - jeune homme se tient maître de sa réalité. grand homme disait qu'on n'est pas sérieux à ses dix-sept ans, il ne l'est certainement pas plus à ses seize ans. tigre se dresse droit, rugit en éclats d'un rire tiré d'autres l'embarras - il n'a rien d'intéressant, à part qu'il vient d'endroit où tout est calme et où tout se fait savoir. isolé, le désir des autres s'abreuver est seconde nature à sa férocité - non pas de leurs millésimes fous rires mais du cramoisi qui teint les carnations, de la stupeur de leurs bénédictions (langage fleuri où on le cible lui de tous les noms).
à ceux qui savent partager leur fragilité, il n'a aucune pique à lancer - plutôt quelques mots doux d'une présence mal estimée. on lui dit "je te pensais pas si-" et il coupe pour dire qu'heureusement il n'est aussi cruel quand autres se blottissent dans les ténèbres des larmes et des hoquets à n'en plus respirer. il se sidère dans ses habitudes, l'oreille tendue - le sang magnanime - certains qu'il mésestime lui tendent leurs soucis - liam stupéfait n'oserait jamais froisser à moment pareil et donc se tait.
c'est bien parce qu'il sait que dire qu'il se permet les attentions qu'il donne, l'affection réfléchie et les quelques paroles - autrement comment pourrait-il. le monde qui l'entoure est pour liam leurs comportements et habitudes, des sortes de modèles dont il voit les attributs, les agissements dans vastes et grandes possibilités leur étant permises. bien d'entre eux s'effacent dans un cadre d'habitudes - disons des patterns - qu'il s'amuse à discerner. après tout il n'y a de lui-même et des autres personne d'aussi certain que liam.
ce détachement le rend d'apparence si froid - de la neige d'un diamant la consistance, inflexible, intimidant, éternel. il n'y a qu'un diamant pour en tailler un autre, et pour preuve on dit de lui qu'il sabote maintes des expériences qu'il traverse. certaines pourtant jusqu'à lors très plaisantes ou même de toutes nouvelles opportunités de vulnérabilité partager. seulement liam se reconnaît un peu mieux dans douleur qu'il s'est lui-même infligée. l'amour familier est celui qui blesse car nuancé, complexe - certainement s'il est aimé mais n'a pas mal c'est qu'on ne l'aime pas - si ?
où s'arrête la brillance de son intuition est là où se plante son imagination. si sûr des autres saisir le tout, l'idée du modèle - liam se fourvoie à propos du réel et s'effraie des surprises plutôt que les accueillir. la prudence aux lèvres, les pensées qui chantent dans la tête - toujours - ce qui le surprend l'attrape. blessé dans son orgueil, il est incapable de désigner la sensation autrement que déplaisamment, appréhende autrement, approche différemment.
pensées lui saisissent le col - confondent broutilles et l'impardonnable, l'immobilisent au sol. liam lancé sans réflexion risque de prendre trop violemment, alors il recule - lentement. au risque de laisser les autres se blesser sous ses yeux, au risque de voir la confiance qu'on lui a accordée s'éteindre. face au danger imminent il s'entretient - plus qu'une fois fuir première option en son sein.
s'il y a autre matière qui l'échappe, c'est façon qu'est décrite aux autres de sentir leurs estomacs retournés par les papillons. la passion altruiste et égoïste de s'éprendre pour de quelqu'un les moindres dires, les moindres respirations est un mystère dont il n'a cessé de chercher la réponse. laissez le donc, se tordre - lui maître de ses émotions, lui maître de ces connaissances - peiné par son obsession sur quelqu'un. c'est en vain, concepts le fascinent davantage aux gens - il aurait aimé qu'il soit autrement.
autrement il aurait su aimer.
infj-a ; maître du “let’s stare at each other for 5 whole minutes” ; regard intense ; voix entraînée, un peu overwhelming ; excellent chanteur though ; son animal totem est un moustique ; tout tic grotesque (main sur la nuque ou dans les cheveux etc) qu'on le voit avoir n'est que simulation, à nouveau il n'a rien de spontané ; on pourrait tout de même lui remarquer la tendance qu'il a à se perdre dans le vague quand il croit que personne ne le voit ; est en fait un brun à la teinture argentée ; les mirettes noisettes, avec des tons de cannelle - des tons chauds qu'on pourrait confondre au rouge terni de loin ; toujours vu les manches longues ; on voit ses veines bleutés autrement, il déteste ça ; les jeans troués, pull avec col roulé, t-shirt trop longs, ceinture de daron, les hoodies, slim, larges pantalons, collants en résille, les plateformes - son style varie entre du street wear et college graduate-y androgyne ; groupe sanguin AB ; corps de lâche de 1m79 ; vanne sur son état de perche fragile grosse victime ; "j’ai peur de ces filles qui ont peur dans les transports le soir” ; appelle béa qu’elle frappe les gens qui l’agressent ; se cache derrière elle en cas de danger ; lui vaut une loyauté sans égal ; de la part d'un traître comme lui ce n'est pas rien ; son familier est un rat, qu'il appelle ambrose ; a vécu à schiltach en allemagne jusqu'à ce que le récupère ambrose ; au final ce dernier l'a sorti d'un trou perdu pour l'amener dans un autre du même genre, merci ambrose ; c'est ce qui valut au familier le nom du voyageur, la seconde ou il vit qu'il s'agissait d'un rat ; accent ressort quand il est en colère ; switch en allemand avec ceux qui le comprennent ; use de cette pratique devant les autres et ment sur la signification des propos échangés ; omnivore mais excessivement picky sur sa bouffe ; du coup il ne se présente que rarement à la salle à manger ; souvent vu mangeant des galettes de riz bio comme ça sans rien ; sent le maïs soufflé, et la fleur de lotus sauge ; tea simp who sips tea loudly ; s'est trouvé de quoi se faire un bellini pèche en fouillant dans la cave de ses grands parents plus jeune, et depuis fasciné par toutes les boissons acidulées ; fixation étrange sur les voitures (#teamBMW les mercedes c'est pas si bien que ça ok ) & le tuning psk really qu'y a t-il de plus voyant qu'une caisse vermillon au milieu d'un trou perdu comme sa ville natale ; la musique semble intéresser ambrose (le rat), en son temps libre liam chante pour ce dernier ou rit d'éclats en jouant du triangle pour l'amadouer, son familier se montrant avec lui assez distant autrement ; le langage druidique est sa matière favorite ; par contre le sport...... ; son rêve et son ambition sont la même : trouver son géniteur, l'exterminer avec ce qu'il croit est l'excuse qu'il s'est trouvé pour disparaitre de sa vie, la magie ; il craint ne pas pouvoir lui mettre la main dessus, ce sans quoi son obsession n'aurait plus de sens
seulement non, il n'y a des autres et de lui-même personne d'aussi certain que liam. son tout se retient par souci de s'éreinter - jeune homme se tient maître de sa réalité. grand homme disait qu'on n'est pas sérieux à ses dix-sept ans, il ne l'est certainement pas plus à ses seize ans. tigre se dresse droit, rugit en éclats d'un rire tiré d'autres l'embarras - il n'a rien d'intéressant, à part qu'il vient d'endroit où tout est calme et où tout se fait savoir. isolé, le désir des autres s'abreuver est seconde nature à sa férocité - non pas de leurs millésimes fous rires mais du cramoisi qui teint les carnations, de la stupeur de leurs bénédictions (langage fleuri où on le cible lui de tous les noms).
à ceux qui savent partager leur fragilité, il n'a aucune pique à lancer - plutôt quelques mots doux d'une présence mal estimée. on lui dit "je te pensais pas si-" et il coupe pour dire qu'heureusement il n'est aussi cruel quand autres se blottissent dans les ténèbres des larmes et des hoquets à n'en plus respirer. il se sidère dans ses habitudes, l'oreille tendue - le sang magnanime - certains qu'il mésestime lui tendent leurs soucis - liam stupéfait n'oserait jamais froisser à moment pareil et donc se tait.
c'est bien parce qu'il sait que dire qu'il se permet les attentions qu'il donne, l'affection réfléchie et les quelques paroles - autrement comment pourrait-il. le monde qui l'entoure est pour liam leurs comportements et habitudes, des sortes de modèles dont il voit les attributs, les agissements dans vastes et grandes possibilités leur étant permises. bien d'entre eux s'effacent dans un cadre d'habitudes - disons des patterns - qu'il s'amuse à discerner. après tout il n'y a de lui-même et des autres personne d'aussi certain que liam.
ce détachement le rend d'apparence si froid - de la neige d'un diamant la consistance, inflexible, intimidant, éternel. il n'y a qu'un diamant pour en tailler un autre, et pour preuve on dit de lui qu'il sabote maintes des expériences qu'il traverse. certaines pourtant jusqu'à lors très plaisantes ou même de toutes nouvelles opportunités de vulnérabilité partager. seulement liam se reconnaît un peu mieux dans douleur qu'il s'est lui-même infligée. l'amour familier est celui qui blesse car nuancé, complexe - certainement s'il est aimé mais n'a pas mal c'est qu'on ne l'aime pas - si ?
où s'arrête la brillance de son intuition est là où se plante son imagination. si sûr des autres saisir le tout, l'idée du modèle - liam se fourvoie à propos du réel et s'effraie des surprises plutôt que les accueillir. la prudence aux lèvres, les pensées qui chantent dans la tête - toujours - ce qui le surprend l'attrape. blessé dans son orgueil, il est incapable de désigner la sensation autrement que déplaisamment, appréhende autrement, approche différemment.
pensées lui saisissent le col - confondent broutilles et l'impardonnable, l'immobilisent au sol. liam lancé sans réflexion risque de prendre trop violemment, alors il recule - lentement. au risque de laisser les autres se blesser sous ses yeux, au risque de voir la confiance qu'on lui a accordée s'éteindre. face au danger imminent il s'entretient - plus qu'une fois fuir première option en son sein.
s'il y a autre matière qui l'échappe, c'est façon qu'est décrite aux autres de sentir leurs estomacs retournés par les papillons. la passion altruiste et égoïste de s'éprendre pour de quelqu'un les moindres dires, les moindres respirations est un mystère dont il n'a cessé de chercher la réponse. laissez le donc, se tordre - lui maître de ses émotions, lui maître de ces connaissances - peiné par son obsession sur quelqu'un. c'est en vain, concepts le fascinent davantage aux gens - il aurait aimé qu'il soit autrement.
autrement il aurait su aimer.
infj-a ; maître du “let’s stare at each other for 5 whole minutes” ; regard intense ; voix entraînée, un peu overwhelming ; excellent chanteur though ; son animal totem est un moustique ; tout tic grotesque (main sur la nuque ou dans les cheveux etc) qu'on le voit avoir n'est que simulation, à nouveau il n'a rien de spontané ; on pourrait tout de même lui remarquer la tendance qu'il a à se perdre dans le vague quand il croit que personne ne le voit ; est en fait un brun à la teinture argentée ; les mirettes noisettes, avec des tons de cannelle - des tons chauds qu'on pourrait confondre au rouge terni de loin ; toujours vu les manches longues ; on voit ses veines bleutés autrement, il déteste ça ; les jeans troués, pull avec col roulé, t-shirt trop longs, ceinture de daron, les hoodies, slim, larges pantalons, collants en résille, les plateformes - son style varie entre du street wear et college graduate-y androgyne ; groupe sanguin AB ; corps de lâche de 1m79 ; vanne sur son état de perche fragile grosse victime ; "j’ai peur de ces filles qui ont peur dans les transports le soir” ; appelle béa qu’elle frappe les gens qui l’agressent ; se cache derrière elle en cas de danger ; lui vaut une loyauté sans égal ; de la part d'un traître comme lui ce n'est pas rien ; son familier est un rat, qu'il appelle ambrose ; a vécu à schiltach en allemagne jusqu'à ce que le récupère ambrose ; au final ce dernier l'a sorti d'un trou perdu pour l'amener dans un autre du même genre, merci ambrose ; c'est ce qui valut au familier le nom du voyageur, la seconde ou il vit qu'il s'agissait d'un rat ; accent ressort quand il est en colère ; switch en allemand avec ceux qui le comprennent ; use de cette pratique devant les autres et ment sur la signification des propos échangés ; omnivore mais excessivement picky sur sa bouffe ; du coup il ne se présente que rarement à la salle à manger ; souvent vu mangeant des galettes de riz bio comme ça sans rien ; sent le maïs soufflé, et la fleur de lotus sauge ; tea simp who sips tea loudly ; s'est trouvé de quoi se faire un bellini pèche en fouillant dans la cave de ses grands parents plus jeune, et depuis fasciné par toutes les boissons acidulées ; fixation étrange sur les voitures (#teamBMW les mercedes c'est pas si bien que ça ok ) & le tuning psk really qu'y a t-il de plus voyant qu'une caisse vermillon au milieu d'un trou perdu comme sa ville natale ; la musique semble intéresser ambrose (le rat), en son temps libre liam chante pour ce dernier ou rit d'éclats en jouant du triangle pour l'amadouer, son familier se montrant avec lui assez distant autrement ; le langage druidique est sa matière favorite ; par contre le sport...... ; son rêve et son ambition sont la même : trouver son géniteur, l'exterminer avec ce qu'il croit est l'excuse qu'il s'est trouvé pour disparaitre de sa vie, la magie ; il craint ne pas pouvoir lui mettre la main dessus, ce sans quoi son obsession n'aurait plus de sens
on parle des années de solitude, de l'image d'un enfant dans d'un père absent le regard. on ne parle jamais des années d'humiliation - et de là où il vient tout s'entend tout se retient. sigmund était irresponsable, et nullement désirait d'un fils - car il ne serait jamais capable de s'en occuper. être parent une responsabilité trop lourde, donner vie le peinait - il craignait blesser son enfant dans ces façons qui échappent a son contrôle. c'était trop tard, cependant.
et liam est sourd à la raison, sourd à en lier. il aurait du rester, lui éviter le déshonneur, les médisances, la pitié, de la compassion les excès. et s'il ne veut pas de place dans sa vie - liam lui en trouvera, six pieds sous terre.
-
sa mère est tombée enceinte très jeune mais parce que couple était bien incapable de nourrir un enfant de leur propre pouvoir - son père disparaît de la vie de sa compagne après avoir fait plusieurs névroses ; trop jeune pour s'en occuper ce sont les grands parents de liam qui s'en occupent ; il grandit donc dans un paté de maison isolé de la ville ; il entre avec béatrice à hellébore à la même année par le fruit du hasard ; à l'époque ils étaient amis, faut dire que dans une ville avec exactement 3 écoles primaires dans le coin y'a pas trop le choix ; ils se ressemblent dans leur cruauté, orgueilleuse et qui laisse des traces - ce pourquoi ils sont inséparables ; on les appelle la team rocket ; c'est l'été avant leur rentrée en 2ème année que leurs parents se marient - sa mère avec le père de béatrice, le nom de liam change de kohl à rosenhart ; au cours de sa scolarisation à hellébore, liam apprit que son père fut également scolarisé ici dans le passé - se détache de sa curiosité simple mais efficace envers la magie pour n'y porter intérêt que comme un moyen pour assouvir un but ; s'il trouve son père, il le tuera - il l'a décidé et ça ne changera pas - c'est lui qui le fera et personne d'autre ; évidemment il se tient de le dire, même à béatrice
et liam est sourd à la raison, sourd à en lier. il aurait du rester, lui éviter le déshonneur, les médisances, la pitié, de la compassion les excès. et s'il ne veut pas de place dans sa vie - liam lui en trouvera, six pieds sous terre.
-
sa mère est tombée enceinte très jeune mais parce que couple était bien incapable de nourrir un enfant de leur propre pouvoir - son père disparaît de la vie de sa compagne après avoir fait plusieurs névroses ; trop jeune pour s'en occuper ce sont les grands parents de liam qui s'en occupent ; il grandit donc dans un paté de maison isolé de la ville ; il entre avec béatrice à hellébore à la même année par le fruit du hasard ; à l'époque ils étaient amis, faut dire que dans une ville avec exactement 3 écoles primaires dans le coin y'a pas trop le choix ; ils se ressemblent dans leur cruauté, orgueilleuse et qui laisse des traces - ce pourquoi ils sont inséparables ; on les appelle la team rocket ; c'est l'été avant leur rentrée en 2ème année que leurs parents se marient - sa mère avec le père de béatrice, le nom de liam change de kohl à rosenhart ; au cours de sa scolarisation à hellébore, liam apprit que son père fut également scolarisé ici dans le passé - se détache de sa curiosité simple mais efficace envers la magie pour n'y porter intérêt que comme un moyen pour assouvir un but ; s'il trouve son père, il le tuera - il l'a décidé et ça ne changera pas - c'est lui qui le fera et personne d'autre ; évidemment il se tient de le dire, même à béatrice
cc moi c'est owouin, j'ai suivi max et judas ici - c'est joli et je crois je connais du monde (qui se reconnaîtra )
hâte de vous embêter avec mon nouveau bb
Dernière édition par Liam R. Rosenhart le Lun 31 Aoû - 18:06, édité 24 fois