Elias Maurel
surnom ;
Généralement les gens qui ont la flemme l’appellent Eli.âge et date de naissance ;
17 ans, il est né le 9 juin 2003.origine ;
Franceascendance ;
N/Agenre ;
Masculinorientation sexuelle ;
Hétéromaison ;
Sureauxannée d'études ;
7e annéedepuis ;
Depuis ses 13 ans, cela fait donc 4 ans qu’il y est !options choisies ;
Langage druidique et biologie magiqueson impression sur ambrose ;
Il le trouve mystérieux, même si pour le coup tout lui a semblé mystérieux et étrange au début. Mais Ambrose est apparu au moment où il en avait le plus besoin et Elias a vécu sa rencontre avec le voyageur comme un sauvetage.Sa curiosité naturelle fait qu’il voudrait en savoir plus mais Ambrose aime entretenir le mystère, ce fourbe.
son avis sur la magie ;
Je cite : “MAIS C’EST GÉNIAL P***** !”avatar ;
Kassim du manga Magi - Labyrinth of magicanimal totem ;
Un grand chien.signe astrologique ;
Gémeaux.catalyseur ;
Juste ses mains.matière favorite ;
La magie des corps, parce que pouvoir se faire pousser de la fourrure l’hiver c’est parfait, surtout pour un méditerranéen comme lui !familier ;
Un gros chat roux à poils longs. Contrairement à Elias il est plutôt solitaire, peut avoir mauvais caractère et va chercher à éviter le contact au maximum. Généralement il passe la journée à dormir ou à lézarder sous le soleil timide et ne revient au dortoir que le soir pour réclamer sa gamelle, quelques gratouilles de temps en temps quand il s’en sent l’envie et va se planquer dans un coin chaud pour le reste de la nuit.particularités physiques ;
En plus d’un anneau à chaque oreille et de ses dreadlocks, ce qui va le différencier physiquement ce sont ses tenues sans queues ni tête du week-end. Un jour il portera une chemise blanche avec un jean noir et un fedora, et le lendemain il pourra tout à fait porter un sarouel et un t-shirt trop grand d’un obscur groupe de musique. Il a aussi tendance à porter plusieurs couches de vêtements, en bon sudiste qu’il est, il a FROID dans les terres sauvages irlandaises. Point de vue uniforme, il a tendance à le porter un peu négligemment, le noeud de cravate desserré, la chemise mal fermée et les manches remontées jusqu’aux coudes. Et bien sûr, il porte le kilt, pourquoi se contenter d’un banal pantalon quand on peut porter un kilt, un KILT !Sinon c’est un métis, ça ne se remarque peut être pas au premier coup d’oeil mais sa mère était marocaine et son père français.
tics et manies ;
Quand il est seul ou qu’il n’a rien à dire, même si ça n’arrive pas souvent, il sifflote ou tapote ses doigts sur toute surface solide en rythme avec la mélodie qui lui passe en tête à ce moment là. Il lui arrive aussi de jouer avec ses boucles d’oreilles.passions ;
Plein de choses, trop certainement. Il se disperse facilement et a toujours envie de faire cinquantes choses en même temps. Globalement il va jouer du saxo, lire, apprendre, expérimenter de nouveaux enchantements, s'entraîner à se changer en ours polaire pour survivre au froid arctique (il est marseillais, souvenez-vous), bref, trop de choses. Il peut aussi chercher le contact humain, en bonne créature sociale qu’il est.phobie ;
L’ophiophobie, soit la phobie des serpents. Il a eu une très mauvaise expérience pendant des vacances au Maroc quand il était petit et depuis les serpents le terrifient.but ;
Il ne sait pas, il vit un peu au jour le jour et verra bien le moment venu.rêve ;
Il rêve de voir la magie et la technologie cohabiter sereinement. En enfant de la ville, il y a des choses qui lui manquent dans le coin reculé d’Irlande où il étudie. Mais il parait que c’est un rêve qui ne se réalisera jamais.régime alimentaire ;
omnivoresnack préféré ;
Des lamelles de citron confit.boisson préférée ;
Le thé à la menthe, of course !caractère
Elias c’est ce type chill, il fait les choses à son rythme. Il aime prendre le temps, profiter de l’instant, des gens et de tout ce qui l’entoure. Lorsqu’il est seul il peut passer des heures à écouter de la musique, jouer de son saxophone ou s'entraîner à différentes magies, selon l’envie du moment.
Par contre, quand il est avec d’autres personnes, il est de ceux qui rient trop fort, parlent beaucoup et peuvent parfois devenir un poil envahissants. Il est gentil, mais ne se rend pas forcément compte que tout le monde n’est pas aussi extraverti et bruyant que lui. De fait il peut lui arriver de manquer de tact. Je suis sûr que vous voyez exactement ce que je veux dire, il est ce genre de personne qui va sauter à pieds joints dans le sujet à ne pas aborder, avec un grand sourire et sans se rendre compte de sa bêtise.
Malgré sa maladresse, il fait de son mieux pour être chaleureux et mettre tout le monde à l’aise. Il considère l’école comme sa seconde maison et les élèves et le personnel comme sa seconde famille.
Son côté détendu, peut être un poil trop détendu, fait de lui une sorte d’électron libre. Il a du mal à être rigoureux sur tous les points, il est régulièrement en retard parce qu’il s’est arrêté en chemin pour observer un vol d’oiseaux, ou qu’il s’est tout simplement perdu dans ses pensées. Cette propension au retard lui a valu un certain nombre d’heures de colles et autres corvées en tout genre. Au moins il ne râle pas et ne se plaint pas parce qu’il sait pertinemment que c’est mérité. Et surtout, même s’il ne paraît pas très sérieux comme ça, il travaille dur pour terminer son cursus. Il aime le monde de la magie pour tout ce qu’il lui a apporté et ne compte pas gâcher la chance qui lui a été donné.
Par contre, quand il est avec d’autres personnes, il est de ceux qui rient trop fort, parlent beaucoup et peuvent parfois devenir un poil envahissants. Il est gentil, mais ne se rend pas forcément compte que tout le monde n’est pas aussi extraverti et bruyant que lui. De fait il peut lui arriver de manquer de tact. Je suis sûr que vous voyez exactement ce que je veux dire, il est ce genre de personne qui va sauter à pieds joints dans le sujet à ne pas aborder, avec un grand sourire et sans se rendre compte de sa bêtise.
Malgré sa maladresse, il fait de son mieux pour être chaleureux et mettre tout le monde à l’aise. Il considère l’école comme sa seconde maison et les élèves et le personnel comme sa seconde famille.
Son côté détendu, peut être un poil trop détendu, fait de lui une sorte d’électron libre. Il a du mal à être rigoureux sur tous les points, il est régulièrement en retard parce qu’il s’est arrêté en chemin pour observer un vol d’oiseaux, ou qu’il s’est tout simplement perdu dans ses pensées. Cette propension au retard lui a valu un certain nombre d’heures de colles et autres corvées en tout genre. Au moins il ne râle pas et ne se plaint pas parce qu’il sait pertinemment que c’est mérité. Et surtout, même s’il ne paraît pas très sérieux comme ça, il travaille dur pour terminer son cursus. Il aime le monde de la magie pour tout ce qu’il lui a apporté et ne compte pas gâcher la chance qui lui a été donné.
histoire
L’histoire d’Elias commence dans la cité phocéenne où se sont rencontrés ses parents. Jean était musicien et Layla infirmière. Son père passant le plus clair de l’année entre studios d’enregistrements et tournées et sa mère alternant journées de douze heures et journées de repos, il dut apprendre à se débrouiller seul très tôt.
Il passa aussi une bonne partie de ses vacances au Maroc, dans sa famille maternelle. Ces moments étaient toujours très attendus par le jeune garçon et il s’y plaisait énormément. Il y eut tout de même une ombre au tableau lorsqu’il avait 6 ans. La maison familiale était située dans l’arrière pays, au pied des montagnes de l’Atlas et il avait l’habitude de jouer dehors avec ses cousins et sous le regard de sa mère. Pourtant cette fois là il s’éloigna un peu plus que d’habitude et il tomba nez à nez avec un immense serpent qui se recroquevilla, prêt à frapper. Il grondait pour prévenir l’enfant qu’il ne devait pas s’approcher mais celui-ci était trop curieux pour entendre le message et reculer. Et forcément il se fit mordre au bras. La douleur fut instantanée et très vive. IL partit en courant et pleurant jusqu’à la maison. Heureusement pour lui, c’était une couleuvre et donc la morsure n’était pas dangereuse en soi. Mais depuis ce jour il a une peur terrible des serpents.
Il commença deux ans plus tard à apprendre la musique. Il avait hérité de cette passion par son père. Ce fut sur le saxophone que se porta son choix, toujours fasciné par les solo dans les disques de Jazz qui résonnaient presque tous les jours chez lui.
C’est quatre ans plus tard, lorsqu’il avait douze ans que sa mère fut diagnostiquée avec un cancer bien avancé. La musique devint alors pour lui un refuge, loin de la souffrance de sa mère, de la froideur des hôpitaux et du chagrin de son père. Malgré le traitement et les meilleurs efforts des médecins, sa mère ne survécut pas à la maladie. Après plusieurs mois de combat elle mourut au tout début de l’année 2016. L’après fut encore plus dur pour lui. Jean, qui avait mis sa carrière en pause pour veiller sur sa femme, se replongea d’autant plus dans la musique pour oublier son chagrin, délaissant au passage son fils. Elias se sentit terriblement seul et si certains auraient pu détester la musique qui venait de lui voler son dernier parent, lui la chérissait pour être le dernier lien qu’ils semblaient partager.
C’est dans ce contexte qu’à l’été de la même année, un mystérieux personnage frappa à la porte des Maurel. C’était Ambrose qui venait expliquer qu’Elias était spécial. Il lui parla de ce qui lui semblait être un autre monde, loin de la ville, loin de la tristesse du quotidien. Ce soir là, comme souvent, son père n’était pas avec lui à l’appartement. Mais il savait que partir avec le magicien était la meilleure chose qu’il pouvait faire. Il décida d’appeler Jean et lui laissa un message expliquant la situation. Il empaqueta ses affaires et partit pour l’Irlande.
Une fois arrivé à Hellébore, ce fut encore mieux que dans les mots du jeune homme au chapeau pointu. La semaine dans le grand bain lui parut presque trop courte. Et même si à son arrivée il était encore un peu timide, il considéra bien vite l’école comme son deuxième chez lui. Grâce à la magie et à l’environnement où il se trouvait à partir de cet instant, il put faire le deuil de sa mère et retrouva son caractère enjoué.
La suite est assez simple. Il se plut tellement là-bas qu’il ne retournait quasiment jamais en France, préférant passer ses vacances à s’occuper des volières ou à flâner. Et comme il avait été si bien accueilli, il participa à tous les événements, pris un filleul sous son aile chaque année, tout ça pour s’assurer que tout le monde puisse y trouver ce que lui y avait trouvé.
Il passa aussi une bonne partie de ses vacances au Maroc, dans sa famille maternelle. Ces moments étaient toujours très attendus par le jeune garçon et il s’y plaisait énormément. Il y eut tout de même une ombre au tableau lorsqu’il avait 6 ans. La maison familiale était située dans l’arrière pays, au pied des montagnes de l’Atlas et il avait l’habitude de jouer dehors avec ses cousins et sous le regard de sa mère. Pourtant cette fois là il s’éloigna un peu plus que d’habitude et il tomba nez à nez avec un immense serpent qui se recroquevilla, prêt à frapper. Il grondait pour prévenir l’enfant qu’il ne devait pas s’approcher mais celui-ci était trop curieux pour entendre le message et reculer. Et forcément il se fit mordre au bras. La douleur fut instantanée et très vive. IL partit en courant et pleurant jusqu’à la maison. Heureusement pour lui, c’était une couleuvre et donc la morsure n’était pas dangereuse en soi. Mais depuis ce jour il a une peur terrible des serpents.
Il commença deux ans plus tard à apprendre la musique. Il avait hérité de cette passion par son père. Ce fut sur le saxophone que se porta son choix, toujours fasciné par les solo dans les disques de Jazz qui résonnaient presque tous les jours chez lui.
C’est quatre ans plus tard, lorsqu’il avait douze ans que sa mère fut diagnostiquée avec un cancer bien avancé. La musique devint alors pour lui un refuge, loin de la souffrance de sa mère, de la froideur des hôpitaux et du chagrin de son père. Malgré le traitement et les meilleurs efforts des médecins, sa mère ne survécut pas à la maladie. Après plusieurs mois de combat elle mourut au tout début de l’année 2016. L’après fut encore plus dur pour lui. Jean, qui avait mis sa carrière en pause pour veiller sur sa femme, se replongea d’autant plus dans la musique pour oublier son chagrin, délaissant au passage son fils. Elias se sentit terriblement seul et si certains auraient pu détester la musique qui venait de lui voler son dernier parent, lui la chérissait pour être le dernier lien qu’ils semblaient partager.
C’est dans ce contexte qu’à l’été de la même année, un mystérieux personnage frappa à la porte des Maurel. C’était Ambrose qui venait expliquer qu’Elias était spécial. Il lui parla de ce qui lui semblait être un autre monde, loin de la ville, loin de la tristesse du quotidien. Ce soir là, comme souvent, son père n’était pas avec lui à l’appartement. Mais il savait que partir avec le magicien était la meilleure chose qu’il pouvait faire. Il décida d’appeler Jean et lui laissa un message expliquant la situation. Il empaqueta ses affaires et partit pour l’Irlande.
Une fois arrivé à Hellébore, ce fut encore mieux que dans les mots du jeune homme au chapeau pointu. La semaine dans le grand bain lui parut presque trop courte. Et même si à son arrivée il était encore un peu timide, il considéra bien vite l’école comme son deuxième chez lui. Grâce à la magie et à l’environnement où il se trouvait à partir de cet instant, il put faire le deuil de sa mère et retrouva son caractère enjoué.
La suite est assez simple. Il se plut tellement là-bas qu’il ne retournait quasiment jamais en France, préférant passer ses vacances à s’occuper des volières ou à flâner. Et comme il avait été si bien accueilli, il participa à tous les événements, pris un filleul sous son aile chaque année, tout ça pour s’assurer que tout le monde puisse y trouver ce que lui y avait trouvé.
Salut à toi cher lecteur ! Et si t’es arrivé jusque là merci d’avoir tout lu ! Moi c’est Koleocoptere (ou juste Koleo, ça marche aussi). Globalement j’essaie d’être drôle, même si ça marche pas toujours. Mais pour ça faudra vous plaindre auprès de Mui (Sendhrys) qui m’a attiré sournoisement sur ce fofo.
(Et j’avoue que j’ai pas vu assez de films de gladiateurs pour me faire un avis, mais je suis ouvert à toutes les découvertes alors instruisez-moi !)
PS : le gif est de : https://giphy.com/channel/sarahmaes
(Et j’avoue que j’ai pas vu assez de films de gladiateurs pour me faire un avis, mais je suis ouvert à toutes les découvertes alors instruisez-moi !)
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