Khan Buy
surnom ;
Ouvert à tout.âge et date de naissance ;
16 ans, 19 juin 2004origine ;
Franco-vietnamienascendance ;
Troisième oeilgenre ;
Ne s'est jamais vraiment posé la question mais se genre au masculinorientation sexuelle ;
Non renseignémaison ;
Sureauannée d'études ;
Rentre en sixième annéedepuis ;
Trois ans (deux années de remise à niveau + cinquième année).options choisies ;
Language des Esprits et Divinationson impression sur ambrose ;
Khan ne sait trop qu’en penser. Il le voit sans doute comme un sauveur, une promesse du bout des lèvres. Il espère qu’il saura faire taire les souvenirs qui l’assaillissent ; il espère qu’il saura calmer ses émotions qui débordent, sans jamais lui laisser de répit. Khan déborde, comme un vase qui n’a de cesse d’être rempli, laissant peu à peu la fleur de son âme se faner, dans le silence le plus pesant des eaux troubles.son avis sur la magie ;
Il ne sait pas encore quoi en penser. Son monde a toujours été calme, jusqu’à ce que viennent les visions, les rêves, les cris dans la nuit ; la malédiction d’une vie.avatar ;
Aang - Avatar the Last Airbenderanimal totem ;
Colibri.signe astrologique ;
Gémeaux et Singecatalyseur ;
Les tatouages en forme de flèche le long de son corps.matière favorite ;
Astronomie.familier ;
Lémurien.particularités physiques ;
Khan se rase le crâne tous les jours, laissant apparaître clairement la flèche tatouée sur sa tête.tics et manies ;
Se racle souvent la gorge, tripote son lobe d’oreille lorsqu’il est stressé, ne peut pas aller se coucher sans s’être lavé (peut prendre plusieurs douches par jour).passions ;
Dessiner ses rêves, parcourir les livres, chanter sous la douche, crier dans la forêt.phobie ;
Il ne sait pas si c’est possible, mais il a peur d’être bloqué à jamais sans ses visions. Revoir encore et toujours les mêmes événements, sans jamais se réveiller, sans jamais sortir de cette boucle infernale.but ;
C’est incertain pour lui, il ne sait pas (est sans aucun doute trop jeune pour savoir).rêve ;
Prendre le dessus sur sa malédiction. Il aimerait la faire taire et ne la solliciter que lorsqu’il en a besoin (en a-t-il seulement besoin, dans la noire folie ?).régime alimentaire ;
Végétarien.snack préféré ;
Des amandes et des raisins secs.boisson préférée ;
Une tisane à la camomille ou à la verveine.caractère
Il est douceur, une plume au creux des mains. Le sourire aux lèvres, ses yeux laissent pourtant transparaître les horreurs qu’il a vues, qu’il a vécues. Khan n’est plus un enfant depuis bien longtemps. Son coeur est chargé des visions de morts.
Une danse ; un ballet dans les mélodies les plus charmeuses, charmantes.
A la recherche de sa place dans ce monde, il est en quête de son être, n’a pas confiance en lui. Khan est traumatisé des souvenirs de l’Histoire, son histoire, de celle des autres. Et pourtant son visage est marqué d’un sourire qui ne s’éteint pas ;
(refuse de montrer ses faiblesses ;
sans doute est-il touché par le doucereux péché de l'orgueil).
Ses mains sont enchaînées.
Il les sent, ces chaînes qui entourent tendrement ses poignets, qui lacèrent sa chair ;
(laisseront des marques indélébiles, figées dans l’histoire de ses souvenirs). Ses yeux s’ouvrent doucement, s’attardent dans la pénombre de la cellule de son coeur, se dressent de concert avec son visage abîmé (tacheté de la souffrance qui transpire de ses lèvres).
Khan attend, encore, le sourire éternellement tatoué à sa colère. Sa cage est faite d’or, dessinée de ses propres mains, peintes de ses doigts qu’ils croient divins.
(lui, ne sait pas s’ils le sont vraiment).
sociable — peu confiant — bavard — jovial — toujours souriant — impatient — facilement agacé — ne supporte pas l’injustice — orgueilleux — parfois jaloux — généreux — aime bien bricoler tout et n’importe quoi (n’est pas très doué pour ça) — maladroit — attentionné — perfectionniste — paraît mentalement plus âgé qu’il ne devrait l’être — adore les amandes — gourmand — énergique — prudent — ne supporte pas la vue du sang — honnête — extrêmement emphatique — fait souvent des crises d’angoisses — a pris l’habitude de tout garder pour lui — casse constamment son réveil — pas très matinal
Une danse ; un ballet dans les mélodies les plus charmeuses, charmantes.
A la recherche de sa place dans ce monde, il est en quête de son être, n’a pas confiance en lui. Khan est traumatisé des souvenirs de l’Histoire, son histoire, de celle des autres. Et pourtant son visage est marqué d’un sourire qui ne s’éteint pas ;
(refuse de montrer ses faiblesses ;
sans doute est-il touché par le doucereux péché de l'orgueil).
Ses mains sont enchaînées.
Il les sent, ces chaînes qui entourent tendrement ses poignets, qui lacèrent sa chair ;
(laisseront des marques indélébiles, figées dans l’histoire de ses souvenirs). Ses yeux s’ouvrent doucement, s’attardent dans la pénombre de la cellule de son coeur, se dressent de concert avec son visage abîmé (tacheté de la souffrance qui transpire de ses lèvres).
Khan attend, encore, le sourire éternellement tatoué à sa colère. Sa cage est faite d’or, dessinée de ses propres mains, peintes de ses doigts qu’ils croient divins.
(lui, ne sait pas s’ils le sont vraiment).
sociable — peu confiant — bavard — jovial — toujours souriant — impatient — facilement agacé — ne supporte pas l’injustice — orgueilleux — parfois jaloux — généreux — aime bien bricoler tout et n’importe quoi (n’est pas très doué pour ça) — maladroit — attentionné — perfectionniste — paraît mentalement plus âgé qu’il ne devrait l’être — adore les amandes — gourmand — énergique — prudent — ne supporte pas la vue du sang — honnête — extrêmement emphatique — fait souvent des crises d’angoisses — a pris l’habitude de tout garder pour lui — casse constamment son réveil — pas très matinal
histoire
Claquement dans son esprit, ses yeux qui se troublent. Le vide dans son coeur, dans son âme, alors que les souvenirs défilent, que le monde se transforme sous ses yeux. Il n’est pas prêt à supporter le monde qui s’écroule dans ses rêves, dans ses souvenirs, alors que le passé s’acharne à lui sourire.
Ses cris sont ceux des abominations. Il ne les contient plus. Sa gorge se serre alors que les mots lui manquent, alors que les maux l’envahissent ; ils parcourent ses veines, le laissent pantelant. Khan ne connaît que la souffrance de son esprit, qui le torture, qui le prend jusqu’aux tripes et lui retourne l’âme. La nuit se fait déjà noire sous ses yeux, alors même que le monde s’écroule ;
(que son monde s’écroule, s’effrite, de morceaux en morceaux, il le voit qui glisse entre ses doigts).
Il y a quelque part une fêlure, une cassure dans son univers, qui ne guérira pas, même avec le temps. Une fissure qui ne fera que grandir, s’infecter des vices de ces terres que ses pieds foulent ;
(ou peut-être est-ce la terre qui foule son corps, dans un soupir incertain, dans une folie en choeur avec une société au bord de l’effondrement).
Il ne peut plus le supporter, ne peut plus porter ce poids qui pèse son coeur, qui sonne le glas de son âme, maître clocher, reine aux doigts de fée. Et alors que son monde tombe en ruines dans un silence assourdissant
(parsemé des hurlements de ses douleurs), c’est lui qui s’échoue (qui échoue), qui s’écroule (qui croule sous les pleurs, par ses peurs).
Allongé dans l’herbe, sa respiration lui manque, comme un être au bord du précipice, prêt à rendre les armes. Ses yeux se perdent sur l’immensité de la voûte étoilée, dans une extase éphémère. Ses souffles sont saccadés ;
(ou peut-être est-ce sa vie qui se délie).
Les temps sont abattus. C’est à présent le silence d’une éternité qui se déroule face à son regard. Et d’abord, naissent les cris. Ensuite, sourit le silence, alors que tout devient flou, que les larmes se tarissent dans la plus tragique des absences.
a grandi dans une famille d’accueil très aimante — ambrose est venu le chercher alors qu’il avait treize ans — n’a eu ses tatouages que plus tard — ses visions sont de plus en plus fortes depuis qu’il a intégré l’école — adore les cours d’astronomie et d’enchantements — était pris pour un fou à de ses dix à douze ans, car il se mettait à hurler à cause de ses visions — a enchainé les psychiatres pendant deux ans, a même eu quelques médicaments — un cauchemar récurrent est celui de la mort de son chat il y a quelques années
Ses cris sont ceux des abominations. Il ne les contient plus. Sa gorge se serre alors que les mots lui manquent, alors que les maux l’envahissent ; ils parcourent ses veines, le laissent pantelant. Khan ne connaît que la souffrance de son esprit, qui le torture, qui le prend jusqu’aux tripes et lui retourne l’âme. La nuit se fait déjà noire sous ses yeux, alors même que le monde s’écroule ;
(que son monde s’écroule, s’effrite, de morceaux en morceaux, il le voit qui glisse entre ses doigts).
Il y a quelque part une fêlure, une cassure dans son univers, qui ne guérira pas, même avec le temps. Une fissure qui ne fera que grandir, s’infecter des vices de ces terres que ses pieds foulent ;
(ou peut-être est-ce la terre qui foule son corps, dans un soupir incertain, dans une folie en choeur avec une société au bord de l’effondrement).
Il ne peut plus le supporter, ne peut plus porter ce poids qui pèse son coeur, qui sonne le glas de son âme, maître clocher, reine aux doigts de fée. Et alors que son monde tombe en ruines dans un silence assourdissant
(parsemé des hurlements de ses douleurs), c’est lui qui s’échoue (qui échoue), qui s’écroule (qui croule sous les pleurs, par ses peurs).
Allongé dans l’herbe, sa respiration lui manque, comme un être au bord du précipice, prêt à rendre les armes. Ses yeux se perdent sur l’immensité de la voûte étoilée, dans une extase éphémère. Ses souffles sont saccadés ;
(ou peut-être est-ce sa vie qui se délie).
Les temps sont abattus. C’est à présent le silence d’une éternité qui se déroule face à son regard. Et d’abord, naissent les cris. Ensuite, sourit le silence, alors que tout devient flou, que les larmes se tarissent dans la plus tragique des absences.
a grandi dans une famille d’accueil très aimante — ambrose est venu le chercher alors qu’il avait treize ans — n’a eu ses tatouages que plus tard — ses visions sont de plus en plus fortes depuis qu’il a intégré l’école — adore les cours d’astronomie et d’enchantements — était pris pour un fou à de ses dix à douze ans, car il se mettait à hurler à cause de ses visions — a enchainé les psychiatres pendant deux ans, a même eu quelques médicaments — un cauchemar récurrent est celui de la mort de son chat il y a quelques années
test rp
Il a les doigts qui le démangent. Ses mains tiennent fermement un livre sur lequel se dessine des lettres qui s’entremêlent, dansent sous ses yeux une valse infernale. Khan est absorbé par sa lecture, le monde n’est plus. Il n’est pas bien âgé, quelques sourires alors que défilent les pages les unes après les autres. Ses lèvres s’ouvrent dans un murmure alors qu’il récite tendrement chacune des paroles.
Il a l’âme sensible ;
celle des rêveurs,
de vos poètes ;
de vos coeurs honnêtes.
Khan se perd dans le noir alors que les cieux se couvrent de la nuit ;
que le soleil se perd dans les lointains horizons ;
(tandis que lui se perd dans ses lectures, dans ses songes d’extasie, dans les songes d’autres mondes). Alors il s’attarde et ses doigts accompagnent les lignes comme un enfant apprenant à lire.
Khan n’a que dix ans, né sous les fleurs des printemps, à l’orée des étés, il n’aurait jamais pensé être arraché à la candeur des enfances.
Inspiration ;
expiration.
Le monde s’accélère, ses yeux se font trouble alors que tout tourne autour de lui. Il n’est plus ici ;
(se perd déjà dans un autre temps,
à l’horreur des anciennes guerres). Son corps est paralysé, alors que les souvenirs se déroulent devant lui. Khan ne connaît pas encore le goût du sang, n’a pas encore vu la doucereuse Mort qui s’abat dans une colère soudaine ;
les hurlements des balles ;
le craquement des âmes.
Il lâche son livre, figé par la terreur. Ses mains se font boueuses, ses vêtements ont été traînés dans la saleté, la crasse de l’erreur humaine. Il n’arrive pas à se défaire des événements qui s’avancent dans l’ère de son temps ;
(ou peut-être est-ce lui qui se perd dans un passé aux doigts de monstres). Alors il hurle, car la peur se glisse dans son coeur, l’enserre de ses griffes de fée. Il n’arrive même pas à pleurer, et ses yeux ne se ferment pas, alors même que ses paupières sont cachées d’un voile noir. Il ne peut qu’assister à ce massacre ;
maudit par les dieux ;
bénis des enfers.
Et personne ne semble pouvoir le sortir de cette vision. Son corps secoué vivement ne le tire même pas de son cauchemar ;
son âme est aspirée, prête à se briser, à se casser dans un fracas assourdissant, aux lumières des tonnerres
Et s’il revient à lui, c’est avec une horreur dans ses yeux ;
l’esprit chargé d’une tristesse qu’un enfant ne devrait pas avoir.
(il ne restera pas enfant bien longtemps ;
les souvenirs s’entremêlent, les siens se font indistincts, celui des âmes du passé l’envahissent sans cesse).
Les visions de son futur se font troubles, comme un tableau blanc sur lequel s’abattent les gouttes d’un sang impur ;
d’une malédiction au sourire acéré.
Il a l’âme sensible ;
celle des rêveurs,
de vos poètes ;
de vos coeurs honnêtes.
Khan se perd dans le noir alors que les cieux se couvrent de la nuit ;
que le soleil se perd dans les lointains horizons ;
(tandis que lui se perd dans ses lectures, dans ses songes d’extasie, dans les songes d’autres mondes). Alors il s’attarde et ses doigts accompagnent les lignes comme un enfant apprenant à lire.
Khan n’a que dix ans, né sous les fleurs des printemps, à l’orée des étés, il n’aurait jamais pensé être arraché à la candeur des enfances.
Inspiration ;
expiration.
Le monde s’accélère, ses yeux se font trouble alors que tout tourne autour de lui. Il n’est plus ici ;
(se perd déjà dans un autre temps,
à l’horreur des anciennes guerres). Son corps est paralysé, alors que les souvenirs se déroulent devant lui. Khan ne connaît pas encore le goût du sang, n’a pas encore vu la doucereuse Mort qui s’abat dans une colère soudaine ;
les hurlements des balles ;
le craquement des âmes.
Il lâche son livre, figé par la terreur. Ses mains se font boueuses, ses vêtements ont été traînés dans la saleté, la crasse de l’erreur humaine. Il n’arrive pas à se défaire des événements qui s’avancent dans l’ère de son temps ;
(ou peut-être est-ce lui qui se perd dans un passé aux doigts de monstres). Alors il hurle, car la peur se glisse dans son coeur, l’enserre de ses griffes de fée. Il n’arrive même pas à pleurer, et ses yeux ne se ferment pas, alors même que ses paupières sont cachées d’un voile noir. Il ne peut qu’assister à ce massacre ;
maudit par les dieux ;
bénis des enfers.
Et personne ne semble pouvoir le sortir de cette vision. Son corps secoué vivement ne le tire même pas de son cauchemar ;
son âme est aspirée, prête à se briser, à se casser dans un fracas assourdissant, aux lumières des tonnerres
Et s’il revient à lui, c’est avec une horreur dans ses yeux ;
l’esprit chargé d’une tristesse qu’un enfant ne devrait pas avoir.
(il ne restera pas enfant bien longtemps ;
les souvenirs s’entremêlent, les siens se font indistincts, celui des âmes du passé l’envahissent sans cesse).
Les visions de son futur se font troubles, comme un tableau blanc sur lequel s’abattent les gouttes d’un sang impur ;
d’une malédiction au sourire acéré.
khan c'est très bien, en plus vous avez l'air de kiffer faire des vannes dessus
bientôt 20 ans, je passe ma vie à jouer à pokemon, voilà
bientôt 20 ans, je passe ma vie à jouer à pokemon, voilà
Dernière édition par Khan Buy le Lun 24 Aoû - 20:05, édité 18 fois