日村 秀秋 Himura Hideaki Aki // 22 Septembre, 18 ans // Né a Sapporo au Japon, préfecture d'Hokkaido. Demi Ainu. // masculin // hétérosexuel Sureau // 8 eme année // 6 ans // biologie magique; langue des esprits; divination // énigmatique, agréable, calme. Appréciable // A toujours fait parti de sa culture. Ravi de pouvoir la perpétuer Taku Morisaki - Ocean Waves + OC de mannerer62 // Higashide Masahiro | |
animal totem ; carpe koi; signe astrologique ; cheval d'eau et vierge ascendant scprpion ; catalyseur ; ikupasuy ; matière favorite ; préservation du monde magique et magie des esprits ; familier ; koi femelle qui s'appelle Sikanna ; particularités physiques ; lunettes de lecture, pas tres grand (1m65) ; average japonais ; tics et manies ; range compulsivement ce qui lui tombe sous la main, acquiesce pendant qu'on lui parle, fait bon usage de gel hydroalcoolique ; passions ; méditation zen; collectionner des cailloux, organiser des jardins miniatures, la calligraphie, la poésie (et surtout les haikus), la contemplation, l'artisanat indigène; tir a l'arc
phobie ; mysophobe, la phobie de la saleté ; avenir ; ca se joue entre jardinier et medium pour le moment ; rêve ; aimerait bien que le monde soit plus adapté pour les communautés natives et traditionnelles qui ont encore un lien avec la magie. Et avoir une vie paisible avec sa famille; régime alimentaire ; omnivore mais tres difficile avec la nourriture. N'aime pas tout. Ironiquement allergique au riz ; snack préféré ; taiyaki en forme de poisson ; boisson préférée ; le thé matcha
この秋は
何で年寄る
雲に鳥
En cet automne
Pourquoi vieillissez vous
Les nuages et les oiseaux
- Basho
Comme ces autres haïkus en calligraphies irréprochables accrochés au dessus de son bureau. Il cachait les siens. Seuls ceux des maîtres comptaient. Il en avait pourtant noircis des carnets a la recherche de l'harmonie parfaite. Mais il sentait toujours un déséquilibre face a la perfection des anciens. Le haïku est l'art de la minutie. Une stance déséquilibrée et voici que l'ensemble s'effondre. Hideaki ne savait pas si il pouvait compter sur son propre équilibre, son propre travail. Alors, il s’effaçait, laissait a d'autres pourtant moins perfectionniste le soin de s'occuper des choses. C'était symptomatique. Meme si il savait pouvoir faire mieux il se sentait tellement perfectible qu'il valait mieux s'abstenir.
Il avait un respect immense et infini pour les maîtres.
Himura Hideaki - Presque le début d'un autre haïku. Cela s’écrivait avec les kanjis voulant dire « Village ensoleillé » et «Merveilleux automne ». Ça lui avait toujours rappelé beaucoup de bons souvenirs l’automne. Des boissons chaudes et des cahiers neufs. Les sorties entre amis dans Sapporo. Hokkaido en nuances de rouge. Visiter les grands parents pour Keirō no Hi et aller au temple a Shūbun no Hi. C'était pour cela qu'il réduisait a "Aki" son nom pour les étrangers ne sachant pas le prononcer avec justesse.
Zen et Zazen - La beauté dans asymétrie et l’imperfection. Le passage du temps. La méditation. Le calme. Les petits jardins. Hideaki a du mal a méditer quand il a du désordre alors il range. Il range toujours, tout. Puis il n’a plus de temps pour lui même. De toute façon on se moque de lui quand il reste une demi heure assis devant un mur blanc.
Japon et Hokkaido - Il le porte avec lui, sur son visage, dans sa voix, dans sa facon de manger peu et d’exprimer du respect. Dans ce yukata dans son armoire. Dans ces odeurs de matcha, dans ses calligraphies fines et réglées. Pourtant il n'était Yamato que pour moitie. La partie Ainu de sa personne éait plus timide et moins visible. Elle ne transparaissait pas physiquement. Seulement elle imprégnait sa magie. Depuis ses rituels impliquant les kamuy jusqu’à l'ikupasuy (baton de priere en bois gravé ainu) nécessaire a sa magie. Mais il complexerait de s'étendre dessus et eviter le plus souvent de le mentionner.
Pas beaucoup de clichés modernes. On ne pouvait pas dire qu’il était bon aux jeux vidéos, qu’il s’y connaissait en manga ou en animation. Il était loin de la figure du hikkikomori
Pour lui le Japon c’était un phénomène interne, les grands parents et les vacances, un futur probable, un passé déjà loin. C’était le gout du poisson, les onsen, entendre sa langue parlée par tout tous. La neige et les sculptures de glace. Les choses familières. Les personnes polies et ordonnées. C’était l’ordre et esthétiques du minimum.
Keigo - Politesse et mise en retrait. C'était caractéristique de lui. C'était une frustration que la plupart de la politesse japonaise soit intraduisible en anglais et rendait ses échanges beaucoup moins proche de ce qu'il voudrait exprimer. Ce n'était pas pour autant qu'il se considérait inférieur aux autres, cette apparence déférence. Pour lui au contraire, la manifestation du respect envers autrui faisait de lui quelqu'un méritant également le respect. Sauf que cette facon d'agir, face aux occidentaux donnait bien souvent l'ascendant a ses interlocuteurs dans les conversation au lieu de lui laisser la place nécéssaire pour faire valoir son avis.
En l'an 13 de l’ère Heisei, le pays du soleil levant accueillait nombre d’étrangers venus célébrer les internationales du ballon rond. Amateratsu, déesse soleil du peuple Yamato, y voyant peut être un affront, décida de voiler sa face.
Cela ne dérangea pas Kanae pour accoucher quelques mois plus tard d'un petit garçon. Toute la famille fut convoquée a Sapporo pour célébrer la nouvelle, même les ainus de Shiraoi. Toute cette vie commençait sur de bons présages, chacun y allait de ses dieux et de sa bénédiction. La seule a ne rien dire c'était Moriko qui observait le petit être fripé en se demandant si il allait lui voler la vedette ou si il lui obéirait en tant que bon petit frère.
Le plus dur était peut être de croiser une personne physiquement reconnaissable comme étant ainu dans la rue avec ses camarades au retour de l'école. Eux ils faisaient une remarque et lui cachait hontesement le bas de son visage dans une écharpe, comme si tout a coup son héritage métissé allait sauter aux yeux de tous. Mais ca n'arrivait pas, il ressemblait trop a un japonais. Il faisait tout pour qu'on ne se doute pas qu'il avait des racines de "sauvage" n'en déplaise au reste de sa famille.
Mais la génétique avait été généreuse avec lui.
Parfois il s'en était voulu de ne pas avoir le courage d'affirmer ses origines. Il se sentait trahir sa grand mère. ll l'adorait, elle et ses chansons étranges dans une langue qu'il ne comprenait pas. Il aimait qu'elle lui parle des kamuy et des koropukkuru. Il aimait les rituels étranges, l'Iyomante auquel son père l'emmenait mais la plupart d entre eux n'étaient plus que des reliquats du passé.
Bonjour Limerick ici Hideaki.
Mon anglais n'est pas encore très bon. J’espère que toi tu n'as rien contre les étrangers. Moi je me sens perdu ici, sans mes habitudes et sans Sapporo. Je sais que le travail de papa ne voulait pas le laisser continuer a vivre au Japon. Au moins on a une plus grande maison ici. J'ai peur qu'on finisse par se mélanger et s'assimiler dans cette Irlande et tout oublier de la ou on vient. Je n'aime pas vraiment la nourriture Irlandaise.
Offre moi quelque chose qui détourne mon esprit du mal du pays.
Peut être que sa prière avait été exaucée. Peut être que Ambrose, l’énigmatique magicien avait capté son vœux au vol. En tout cas il était venu le chercher, ses 12 ans frais pesés avec sa voix calme et ses perspectives nouvelles. Hellebore.
La nouvelle avait réjoui son père d'une façon inattendue et il lui avait offert l'ikupasuy qu'il gardait en souvenir de grand mère. Le bâton sculpté aux motifs de la lignée qui servait a communiquer avec les esprits.
Les chants des cigales annocaient l'été dans les maisons de tout le Japon. L'oreille attentive savait en distinguer 6 sortes. Hideaki avait tendance a préferer le son des Minmin - zemi.
Il s'était assis a l'exterieur, lui. Etrangement il avait voulu rentrer a Shiraoi plutot qu'a Sapporo pour aider avec le musee ainu et les touristes. Apres tout il parlait bien anglais. Sa grand mère vint s'installer avec lui et il restèrent un peu sans parler. Puis il lui avoua les question qui le préoccupait. Comment une vénérable shamane comme elle acceptait elle de vivre dans la ville ? Pourquoi leur peuple avait il tant besoin de servir d'attraction touristique ? Pourquoi rendaient ils des cérémonies aux kamuy présent dans les objets polluants comme les voitures ?
Hideaki, disait elle, et ce faisant elle lui prenait les mains. Il aimait ses mains qui avaient une texture douce et sage. Un shaman doit rester proche de sa communauté. Les ainu ont besoin d'argent et d'attention que leur gouvernement japonais refusera encore de leur accorder. Et il existe des kamuy meme dans les voitures car il en existait dans le metal avant qu'il ne soit fondu par l'homme. Ces kamuy aussi ont besoin d'etre reconnus.
Tu sais, lui disait elle, je suis heureuse que ton père t'aie remi l'ikupasuy. Elle avait longtemps pensé que son fils prendrait sa suite mais la magie de celui ci n'avait jamais fais surface.
Et ensuite ils restaient a mediter ensemble a divers sujet comparant les usages d'ici et d'Europe, une generation enseignant a la nouvelle une sagesse perdue...
phobie ; mysophobe, la phobie de la saleté ; avenir ; ca se joue entre jardinier et medium pour le moment ; rêve ; aimerait bien que le monde soit plus adapté pour les communautés natives et traditionnelles qui ont encore un lien avec la magie. Et avoir une vie paisible avec sa famille; régime alimentaire ; omnivore mais tres difficile avec la nourriture. N'aime pas tout. Ironiquement allergique au riz ; snack préféré ; taiyaki en forme de poisson ; boisson préférée ; le thé matcha
この秋は
何で年寄る
雲に鳥
En cet automne
Pourquoi vieillissez vous
Les nuages et les oiseaux
- Basho
Comme ces autres haïkus en calligraphies irréprochables accrochés au dessus de son bureau. Il cachait les siens. Seuls ceux des maîtres comptaient. Il en avait pourtant noircis des carnets a la recherche de l'harmonie parfaite. Mais il sentait toujours un déséquilibre face a la perfection des anciens. Le haïku est l'art de la minutie. Une stance déséquilibrée et voici que l'ensemble s'effondre. Hideaki ne savait pas si il pouvait compter sur son propre équilibre, son propre travail. Alors, il s’effaçait, laissait a d'autres pourtant moins perfectionniste le soin de s'occuper des choses. C'était symptomatique. Meme si il savait pouvoir faire mieux il se sentait tellement perfectible qu'il valait mieux s'abstenir.
Il avait un respect immense et infini pour les maîtres.
Himura Hideaki - Presque le début d'un autre haïku. Cela s’écrivait avec les kanjis voulant dire « Village ensoleillé » et «Merveilleux automne ». Ça lui avait toujours rappelé beaucoup de bons souvenirs l’automne. Des boissons chaudes et des cahiers neufs. Les sorties entre amis dans Sapporo. Hokkaido en nuances de rouge. Visiter les grands parents pour Keirō no Hi et aller au temple a Shūbun no Hi. C'était pour cela qu'il réduisait a "Aki" son nom pour les étrangers ne sachant pas le prononcer avec justesse.
Zen et Zazen - La beauté dans asymétrie et l’imperfection. Le passage du temps. La méditation. Le calme. Les petits jardins. Hideaki a du mal a méditer quand il a du désordre alors il range. Il range toujours, tout. Puis il n’a plus de temps pour lui même. De toute façon on se moque de lui quand il reste une demi heure assis devant un mur blanc.
Japon et Hokkaido - Il le porte avec lui, sur son visage, dans sa voix, dans sa facon de manger peu et d’exprimer du respect. Dans ce yukata dans son armoire. Dans ces odeurs de matcha, dans ses calligraphies fines et réglées. Pourtant il n'était Yamato que pour moitie. La partie Ainu de sa personne éait plus timide et moins visible. Elle ne transparaissait pas physiquement. Seulement elle imprégnait sa magie. Depuis ses rituels impliquant les kamuy jusqu’à l'ikupasuy (baton de priere en bois gravé ainu) nécessaire a sa magie. Mais il complexerait de s'étendre dessus et eviter le plus souvent de le mentionner.
Pas beaucoup de clichés modernes. On ne pouvait pas dire qu’il était bon aux jeux vidéos, qu’il s’y connaissait en manga ou en animation. Il était loin de la figure du hikkikomori
Pour lui le Japon c’était un phénomène interne, les grands parents et les vacances, un futur probable, un passé déjà loin. C’était le gout du poisson, les onsen, entendre sa langue parlée par tout tous. La neige et les sculptures de glace. Les choses familières. Les personnes polies et ordonnées. C’était l’ordre et esthétiques du minimum.
Keigo - Politesse et mise en retrait. C'était caractéristique de lui. C'était une frustration que la plupart de la politesse japonaise soit intraduisible en anglais et rendait ses échanges beaucoup moins proche de ce qu'il voudrait exprimer. Ce n'était pas pour autant qu'il se considérait inférieur aux autres, cette apparence déférence. Pour lui au contraire, la manifestation du respect envers autrui faisait de lui quelqu'un méritant également le respect. Sauf que cette facon d'agir, face aux occidentaux donnait bien souvent l'ascendant a ses interlocuteurs dans les conversation au lieu de lui laisser la place nécéssaire pour faire valoir son avis.
En l'an 13 de l’ère Heisei, le pays du soleil levant accueillait nombre d’étrangers venus célébrer les internationales du ballon rond. Amateratsu, déesse soleil du peuple Yamato, y voyant peut être un affront, décida de voiler sa face.
Cela ne dérangea pas Kanae pour accoucher quelques mois plus tard d'un petit garçon. Toute la famille fut convoquée a Sapporo pour célébrer la nouvelle, même les ainus de Shiraoi. Toute cette vie commençait sur de bons présages, chacun y allait de ses dieux et de sa bénédiction. La seule a ne rien dire c'était Moriko qui observait le petit être fripé en se demandant si il allait lui voler la vedette ou si il lui obéirait en tant que bon petit frère.
Le plus dur était peut être de croiser une personne physiquement reconnaissable comme étant ainu dans la rue avec ses camarades au retour de l'école. Eux ils faisaient une remarque et lui cachait hontesement le bas de son visage dans une écharpe, comme si tout a coup son héritage métissé allait sauter aux yeux de tous. Mais ca n'arrivait pas, il ressemblait trop a un japonais. Il faisait tout pour qu'on ne se doute pas qu'il avait des racines de "sauvage" n'en déplaise au reste de sa famille.
Mais la génétique avait été généreuse avec lui.
Parfois il s'en était voulu de ne pas avoir le courage d'affirmer ses origines. Il se sentait trahir sa grand mère. ll l'adorait, elle et ses chansons étranges dans une langue qu'il ne comprenait pas. Il aimait qu'elle lui parle des kamuy et des koropukkuru. Il aimait les rituels étranges, l'Iyomante auquel son père l'emmenait mais la plupart d entre eux n'étaient plus que des reliquats du passé.
Bonjour Limerick ici Hideaki.
Mon anglais n'est pas encore très bon. J’espère que toi tu n'as rien contre les étrangers. Moi je me sens perdu ici, sans mes habitudes et sans Sapporo. Je sais que le travail de papa ne voulait pas le laisser continuer a vivre au Japon. Au moins on a une plus grande maison ici. J'ai peur qu'on finisse par se mélanger et s'assimiler dans cette Irlande et tout oublier de la ou on vient. Je n'aime pas vraiment la nourriture Irlandaise.
Offre moi quelque chose qui détourne mon esprit du mal du pays.
Peut être que sa prière avait été exaucée. Peut être que Ambrose, l’énigmatique magicien avait capté son vœux au vol. En tout cas il était venu le chercher, ses 12 ans frais pesés avec sa voix calme et ses perspectives nouvelles. Hellebore.
La nouvelle avait réjoui son père d'une façon inattendue et il lui avait offert l'ikupasuy qu'il gardait en souvenir de grand mère. Le bâton sculpté aux motifs de la lignée qui servait a communiquer avec les esprits.
Les chants des cigales annocaient l'été dans les maisons de tout le Japon. L'oreille attentive savait en distinguer 6 sortes. Hideaki avait tendance a préferer le son des Minmin - zemi.
Il s'était assis a l'exterieur, lui. Etrangement il avait voulu rentrer a Shiraoi plutot qu'a Sapporo pour aider avec le musee ainu et les touristes. Apres tout il parlait bien anglais. Sa grand mère vint s'installer avec lui et il restèrent un peu sans parler. Puis il lui avoua les question qui le préoccupait. Comment une vénérable shamane comme elle acceptait elle de vivre dans la ville ? Pourquoi leur peuple avait il tant besoin de servir d'attraction touristique ? Pourquoi rendaient ils des cérémonies aux kamuy présent dans les objets polluants comme les voitures ?
Hideaki, disait elle, et ce faisant elle lui prenait les mains. Il aimait ses mains qui avaient une texture douce et sage. Un shaman doit rester proche de sa communauté. Les ainu ont besoin d'argent et d'attention que leur gouvernement japonais refusera encore de leur accorder. Et il existe des kamuy meme dans les voitures car il en existait dans le metal avant qu'il ne soit fondu par l'homme. Ces kamuy aussi ont besoin d'etre reconnus.
Tu sais, lui disait elle, je suis heureuse que ton père t'aie remi l'ikupasuy. Elle avait longtemps pensé que son fils prendrait sa suite mais la magie de celui ci n'avait jamais fais surface.
Et ensuite ils restaient a mediter ensemble a divers sujet comparant les usages d'ici et d'Europe, une generation enseignant a la nouvelle une sagesse perdue...
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Fait du tir a l'arc - Ne se sent jamais plus a l'aise que dans un onsen - Tres pudique sauf dans les bains - Sérieusement ca ne le dérange pas du tout de se baigner nu devant d'autres gens - Cuisine pour lui meme vu qu'il est difficile - aime surtout les omelettes et les ramen - ne tient pas du tout l'alcool - du coup il boit peu - vous voyez ces cliches de salaryman avec la cravate nouée sur la tete bah c'est lui - transporte Sikanna dans une bulle d'eau - Ne se considere pas croyant même si au final il applique un melange de bouddhisme zen, de shintoïsme et de religion ainu. - est tres content quand c'est son tour de faire le menage - si il ne se rasait pas il aurait un peu de barbe - effectue des rituels chamaniques pour les kamuy des nouveaux objets qu'il acquiere - maitre en meditation zen - sent toujours bon. Comme sa chambre. - ca sent surtout le propre - est tres sensible aux odeurs - Rend hommage aux esprits - fait parfois tirer des omikuji - a quelques belles pierres dont il se sert comme presse papier - s'habille de rares fois en tenue ainu pour les grandes occasions. Sinon aime aussi bien son yukata
Mon nom c'est Lea mais si vous m'avez sur Discord c'est Tesla. J'ai trouve le forum via Pinterest ce qui est plutot pas commun. J'aime un tas de truc mais j'adore ce qui est culturel et traditionnel. L'antropologie c'est mon truc. J'aime aussi la cuisine meme si j ai pas toujours la patience pour. Je suis une petite maman aussi j'aime les gamins. Et voila pour le moment je suis plutot du genre tres dispo.
Dernière édition par Hideaki Himura le Mar 6 Oct - 13:11, édité 10 fois