Asmodée Yi
surnom ;
Asmo, c’est comme ça qu’il veut qu’on l’appelle, Asmodée est le démon de la luxure - son regard sur lui, ou celui de la cruauté - il n’est que le remplacement de ce qu’elle a perdu, il veut être plus que son prénomâge et date de naissance ;
dix-huit ans, vingt-et-un décembre, jour d’hiver, sous les premières neigesorigine ;
sa mère - sa créatrice - est franco-chinoiseascendance ;
homoncule, marionnette enchantée, création de désir malsain, il ne s’appartient pasgenre ;
flou, il se genre et on le genre au masculin et ça ne le dérange pasorientation sexuelle ;
pansexuel, polyamoureux sans vraiment en avoir consciencemaison ;
aconits, parce qu’il aime la musique, la fête et entendre le monde vivre pour se rappeler qu’il n’est pas seulannée d'études ;
après trois ans en années spécialisées, il est entré, balbutiant en sixième année, il s’y est investi de toutes son âme puis, voyant la fin de son cursus arriver avec horreur, il a saboté sa huitième année, qu’il redouble craintivementdepuis ;
ses treize ans, âge auquel Ambrose est venu frapper à sa porte, enfin à sa porte à elleoptions choisies ;
biologie magique pour comprendre, pour se comprendre et se libérer, langage druidique parce qu’on aime la musiqueson impression sur ambrose ;
ambivalent, c’est son sauveur, il l’a arraché à ses bras, il lui a offert la possibilité d’être, mais parfois, quand on voit la fin qui approche, on regrette d’avoir espéré, on regrette qu’il soit venu nous offrir la possibilité d’êtreson avis sur la magie ;
ambivalent, comment peut-elle être aussi merveilleuse et cruelleavatar ;
uta - tokyo ghoul, yungbludanimal totem ;
la hyènesigne astrologique ;
sagittaire, serpent de métalcatalyseur ;
il prétend que ce sont certains de ses tatouages, parfois même ses mains, la vérité, c’est que c’est lui, le catalyseurmatière favorite ;
langage druidique, parce qu’il aime la musique tout simplementfamilier ;
une vipère velue mâle d’une cinquantaine de centimètres répondant au nom de Sayanel, il s’est manifesté durant l’été précédant son départ des années spécialiséesparticularités physiques ;
une peau pâle couverte de dessins entrelacés, imitation parfaite de ce qu’il n’est pas, des piercings partout, un caché sur la langue comme pour éprouver la douleur, se tester, une démarche un peu flottante, presque rêveuse, gracieuse et pourtant un peu maladroite, comme si son propre corps lui échappaitsa façon de porter l'uniforme ;
il adore le chapeau, il a essayé le kilt mais préfère le pantalon, il se pare en revanche de multiples bijoux et piercings, pour se différencier, pour être luigroupe sanguin ;
elle disait O-, c’était faux, on a sous la peau que du bois, du bouleau blanc pour la puretétics et manies ;
il fume énormément, comme un moyen de paraître plus humain, ça occupe ses mains qui ne cessent de s’agiter, il évite de tirer sur ses cheveux, ils ne repousseront pas, il dessine, écrit partout, tout le temps, il colorie beaucoup l’intérieur de ses tatouagespassions ;
le violon, le dessin, la sculpture, chanter - pas trop, ça le rend timide, Asmo est quelqu’un qui vivrait pour l’art s’il n’avait un lien magique à détruire, alors il fait ça, il se libère et après, il avisera ...phobie ;
quitter hellébore pour retourner avec elle, claustrophobiebut ;
il veut être libre ou mourirrêve ;
pouvoir choisir ses rêvesrégime alimentaire ;
vegan flexible, il lui arrive de manger des bonbons sans vérifier d’où vient la gélatine.snack préféré ;
les kit-kat ballsboisson préférée ;
le café, beaucoup de café, dans toutes ses formes, froid, chaud, sucré ou non …caractère
Quand on a libéré l’oiseau blanc de sa cage, il a compris que jamais ses chaines ne se briseraient.
Alors, l’oiseau est devenu désespéré.
Et son plumage s’est teinté de rouge.
Asmo est doux, il est calme, parle peu, écoute beaucoup. Il est là pour te donner mille et uns conseils, calmer tes pires cauchemars et chasser tes larmes au creux de ses bras. Il est là pour te défendre quoique tu ais fait, parce qu’il aime, totalement, absolument, désespérément. Il a le sourire tranquille, le rire bruyant et l’émerveillement facile. Parce que tout est à découvrir, tout est à apprendre. Fasciné, passionné, il a une soif de connaissances immense malgré une concentration chaotique. Il est capable de se plonger sur quelque chose pendant des heures voire des jours sans en décrocher, sans sentir le besoin de s’arrêter. Mais parfois - souvent - un rien le distrait, ses mains s’agitent et tout est compliqué.
Ça l’agace, mais ça ne l’énerve pas, pas trop. Mais quand il se met en colère, c’est peut-être là qu’on voit les failles, la faille, l’immense, béante et terrifiante. Il explose, hurle et pleure. Ses ongles, frénétiquement sur sa peau - sa fausse peau pour sa fausse existence. Ultraviolence. Ça le laisse vide et amorphe, des simples larmes roulant sur ses joues pâles.
Asmo est méfiant face aux adultes, face aux figures d’autorité. Parce que la seule qu’il a connu l’a enfermé, et détient sur lui un pouvoir absolu. Alors il se méfie, ne se confie pas, se cache au fond de la classe et jamais ne demande de l’aide. Pas à eux. À personne en fait, Asmo veut se débrouiller seul, protéger ceux qu’il aime de toutes ses forces, être inébranlable pour eux, ne reculer devant rien. Parce que si on les protège, ils ne nous laisserons pas seul, c’est sûr.
Mais au fond, tout au fond, Asmo est brisé. Parce qu’il se sait enfermé, enchainé et ça l’enrage et le terrifie. Il est terrifié, désespéré et surtout, prêt à tout pour se libérer. Il n’hésitera pas une seule seconde à abandonner tout ce qu’il a pour être lui-même, être libre, vivre vraiment.
Asmo, Asmodée, c’est l’histoire d’un enfant qu’on a créé pour l’enfermer, un enfant qui s’en est rendu compte et qui, à choisir, préférerait mourir.
L’oiseau blanc est un vautour blessé, hargneux et triste.
il a été fabriqué comme une marionnette // tout de bois poli // cheveux naturels - les siens // a demandé à ce qu’on enchante ses yeux pour leur changer de couleur, pour déconner // manque de bol, la couleur s’est incrustée dans le verre de ses globes oculaires // a réalisé une bonne partie de ses tatouages lui-même // joue du violon depuis des années // à son arrivée, il était beaucoup plus grand que tout le monde // maintenant, il se fond dans la masse // 1.72 // mais paraît plus grand que ce qu’il est // a une voix apaisante, grave et posée // très doué de ses mains // dort très peu // le café ne fait plus effet sur lui // use et abuse de la potion d’insomnie // très fin sous ses vêtements amples // oublie souvent de manger // ne cache pas ce qu’il est // sa mère a rendu sa peau la plus réaliste possible au toucher // elle a tenté de le faire le plus humain possible // un enchantement parfait, une illusion absolue // Sayanel, son familier, est toujours enroulé autour de son cou ou de son bras // il ne parle pas beaucoup // lors de son premier Yule, Asmo n’a pas compris pourquoi on en faisait autant pour son anniversaire // l’alcool et autres drogues agissent beaucoup plus lentement et longuement sur son organisme // mais il a jamais de gueule de bois // connait la carte du ciel par cœur // très peu sensible au froid // mais craint le feu // peu à son aise dans une foule mais le cache très bien // pour mieux exploser ensuite // parfois, ça déconne et tous ses sens deviennent fous // infiniment plus sensible ou terriblement peu sensible // juste avant qu'il parte, elle a dit envoie moi une lettre toutes les semaines // il ne peut y échapper // alors il envoie des morceaux de papier blanc
Alors, l’oiseau est devenu désespéré.
Et son plumage s’est teinté de rouge.
Asmo est doux, il est calme, parle peu, écoute beaucoup. Il est là pour te donner mille et uns conseils, calmer tes pires cauchemars et chasser tes larmes au creux de ses bras. Il est là pour te défendre quoique tu ais fait, parce qu’il aime, totalement, absolument, désespérément. Il a le sourire tranquille, le rire bruyant et l’émerveillement facile. Parce que tout est à découvrir, tout est à apprendre. Fasciné, passionné, il a une soif de connaissances immense malgré une concentration chaotique. Il est capable de se plonger sur quelque chose pendant des heures voire des jours sans en décrocher, sans sentir le besoin de s’arrêter. Mais parfois - souvent - un rien le distrait, ses mains s’agitent et tout est compliqué.
Ça l’agace, mais ça ne l’énerve pas, pas trop. Mais quand il se met en colère, c’est peut-être là qu’on voit les failles, la faille, l’immense, béante et terrifiante. Il explose, hurle et pleure. Ses ongles, frénétiquement sur sa peau - sa fausse peau pour sa fausse existence. Ultraviolence. Ça le laisse vide et amorphe, des simples larmes roulant sur ses joues pâles.
Asmo est méfiant face aux adultes, face aux figures d’autorité. Parce que la seule qu’il a connu l’a enfermé, et détient sur lui un pouvoir absolu. Alors il se méfie, ne se confie pas, se cache au fond de la classe et jamais ne demande de l’aide. Pas à eux. À personne en fait, Asmo veut se débrouiller seul, protéger ceux qu’il aime de toutes ses forces, être inébranlable pour eux, ne reculer devant rien. Parce que si on les protège, ils ne nous laisserons pas seul, c’est sûr.
Mais au fond, tout au fond, Asmo est brisé. Parce qu’il se sait enfermé, enchainé et ça l’enrage et le terrifie. Il est terrifié, désespéré et surtout, prêt à tout pour se libérer. Il n’hésitera pas une seule seconde à abandonner tout ce qu’il a pour être lui-même, être libre, vivre vraiment.
Asmo, Asmodée, c’est l’histoire d’un enfant qu’on a créé pour l’enfermer, un enfant qui s’en est rendu compte et qui, à choisir, préférerait mourir.
L’oiseau blanc est un vautour blessé, hargneux et triste.
- résumé:
- doux - protecteur- prêt à tout pour accomplir son objectif - tactile - très méfiant face aux adultes - aux figures d’autorité en règle générale - a un rapport extrêmement complexe avec son corps - observateur - cynique - ses crises de colère sont explosives et ultraviolentes - écoute beaucoup mais parle peu - émerveillé - rêveur - bienveillant - soif d’apprendre - pas du tout possessif - ni jaloux - a une morale biaisée (ceux qu'il aime auront toujours raison) - a été extrêmement turbulent et casse-cou - s’est (un peu) calmé - ne craint pas la douleur - concentration chaotique - profondément désespéré par sa condition - de plus en plus à cran à mesure que la fin de son cursus approche - la solitude le terrifie bien qu’il refuse de (se) l’avouer
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il a été fabriqué comme une marionnette // tout de bois poli // cheveux naturels - les siens // a demandé à ce qu’on enchante ses yeux pour leur changer de couleur, pour déconner // manque de bol, la couleur s’est incrustée dans le verre de ses globes oculaires // a réalisé une bonne partie de ses tatouages lui-même // joue du violon depuis des années // à son arrivée, il était beaucoup plus grand que tout le monde // maintenant, il se fond dans la masse // 1.72 // mais paraît plus grand que ce qu’il est // a une voix apaisante, grave et posée // très doué de ses mains // dort très peu // le café ne fait plus effet sur lui // use et abuse de la potion d’insomnie // très fin sous ses vêtements amples // oublie souvent de manger // ne cache pas ce qu’il est // sa mère a rendu sa peau la plus réaliste possible au toucher // elle a tenté de le faire le plus humain possible // un enchantement parfait, une illusion absolue // Sayanel, son familier, est toujours enroulé autour de son cou ou de son bras // il ne parle pas beaucoup // lors de son premier Yule, Asmo n’a pas compris pourquoi on en faisait autant pour son anniversaire // l’alcool et autres drogues agissent beaucoup plus lentement et longuement sur son organisme // mais il a jamais de gueule de bois // connait la carte du ciel par cœur // très peu sensible au froid // mais craint le feu // peu à son aise dans une foule mais le cache très bien // pour mieux exploser ensuite // parfois, ça déconne et tous ses sens deviennent fous // infiniment plus sensible ou terriblement peu sensible // juste avant qu'il parte, elle a dit envoie moi une lettre toutes les semaines // il ne peut y échapper // alors il envoie des morceaux de papier blanc
histoire
Elle est triste, une tristesse sans fond pour le monde. Elle aimait profondément, à la folie, euphoriquement, chaque seconde était belle, chaque seconde méritait d’être vécue, chaque battement de cœur avait un sens.
Aujourd’hui, seule face à cette tombe de marbre noir, elle n’a plus rien.
Plus rien n’a de sens, même les larmes qui coulent sur ses joues n’ont plus de goût.
Magicienne sage et accomplie, elle sait - s’imagine savoir - qu’on ne joue pas avec la mort et que ce qui est parti ne reviendra jamais. Alors pour combler sa tristesse, elle se plonge corps et âme dans la création d’autre chose. Rien ne ramènera son mari mort, mais elle peut créer le symbole de leur amour, ce qu’aurait été leur fils s’il avait existé.
Ainsi naît Asmodée tout de bois et de sorts. Et il s’anime et observe le monde avec douceur et innocence. Elle est heureuse, terriblement heureuse, elle en oublie d’être triste. Elle fait grandir sa création avec tendresse, l'élève avec douceur et amour.
Mais peu à peu, doucement, elle réalise qu’elle n’a pas créé leur fils, elle l’a créé lui et ses traits perdus. Et la tendresse se transforme en amour malsain. La magicienne sage et accomplie se perd et brûle d’un désir interdit pour sa créature. Sa mainmise devient envahissante, ses étreintes étouffantes.
Ainsi se débat Asmodée avec lui-même et elle. Il crie et hurle. Dans le vide et le néant.
Perdue dans son amour malsain, obsessionnel, elle finit par le laisser partir, un sourire tendre sur les lèvres. Asmodée lui reviendra, grandi et homme. Et là, rien ni personne, ni même la morale ne l’empêchera de l’aimer, de le désirer.
Ainsi est enchainé Asmodée.
> sa mère, amoureuse désespérée perd son mari
> crée l’homoncule de ce qu’elle verra comme leur enfant
> l’élève en le couvant d’un amour surpuissant et malsain
> l’initie au dessin et à la musique
> peu à peu son regard change sur l’enfant à mesure qu’elle réalise qu’elle l’a créé avec les traits de son mari décédé
> asmo se rend compte que quelque chose ne va pas dans le regard de sa mère
> il se rend compte que quelque chose ne va pas dans ce qu’il est
> il devient turbulent, insolent, dissipé
> perdue, elle l’envoie à hellébore dès l’apparition d’ambrose
> elle se prive ainsi de le voir pour quitter l’enfant et retrouver un homme qu’elle pourra désirer
> asmo arrive perdu à hellébore, découvre les autres, le monde
> il découvre aussi ce qu’il est et l’horreur de sa condition
> il passe la première de sa vie là-bas à observer les gens sans trop les comprendre
> alors il s’approprie désespérément ce corps qui n’est pas le sien
> le couvre de tatouages, de piercings
> potasse à mort la magie pour chercher à rompre le lien qui l’unit à elle
> voit la fin de son cursus à hellébore arriver avec horreur
Aujourd’hui, seule face à cette tombe de marbre noir, elle n’a plus rien.
Plus rien n’a de sens, même les larmes qui coulent sur ses joues n’ont plus de goût.
Magicienne sage et accomplie, elle sait - s’imagine savoir - qu’on ne joue pas avec la mort et que ce qui est parti ne reviendra jamais. Alors pour combler sa tristesse, elle se plonge corps et âme dans la création d’autre chose. Rien ne ramènera son mari mort, mais elle peut créer le symbole de leur amour, ce qu’aurait été leur fils s’il avait existé.
Ainsi naît Asmodée tout de bois et de sorts. Et il s’anime et observe le monde avec douceur et innocence. Elle est heureuse, terriblement heureuse, elle en oublie d’être triste. Elle fait grandir sa création avec tendresse, l'élève avec douceur et amour.
Mais peu à peu, doucement, elle réalise qu’elle n’a pas créé leur fils, elle l’a créé lui et ses traits perdus. Et la tendresse se transforme en amour malsain. La magicienne sage et accomplie se perd et brûle d’un désir interdit pour sa créature. Sa mainmise devient envahissante, ses étreintes étouffantes.
Ainsi se débat Asmodée avec lui-même et elle. Il crie et hurle. Dans le vide et le néant.
Perdue dans son amour malsain, obsessionnel, elle finit par le laisser partir, un sourire tendre sur les lèvres. Asmodée lui reviendra, grandi et homme. Et là, rien ni personne, ni même la morale ne l’empêchera de l’aimer, de le désirer.
Ainsi est enchainé Asmodée.
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> sa mère, amoureuse désespérée perd son mari
> crée l’homoncule de ce qu’elle verra comme leur enfant
> l’élève en le couvant d’un amour surpuissant et malsain
> l’initie au dessin et à la musique
> peu à peu son regard change sur l’enfant à mesure qu’elle réalise qu’elle l’a créé avec les traits de son mari décédé
> asmo se rend compte que quelque chose ne va pas dans le regard de sa mère
> il se rend compte que quelque chose ne va pas dans ce qu’il est
> il devient turbulent, insolent, dissipé
> perdue, elle l’envoie à hellébore dès l’apparition d’ambrose
> elle se prive ainsi de le voir pour quitter l’enfant et retrouver un homme qu’elle pourra désirer
> asmo arrive perdu à hellébore, découvre les autres, le monde
> il découvre aussi ce qu’il est et l’horreur de sa condition
> il passe la première de sa vie là-bas à observer les gens sans trop les comprendre
> alors il s’approprie désespérément ce corps qui n’est pas le sien
> le couvre de tatouages, de piercings
> potasse à mort la magie pour chercher à rompre le lien qui l’unit à elle
> voit la fin de son cursus à hellébore arriver avec horreur
feliz, canard colvert non binaire
c'est Percy qui m'a refilé le lien alors que je cherchais un nouvel abri pour Asmo, et ça n'a pas trainé me voilà, dispo aléatoirement, beaucoup en ce moment parce que le confinement, et il paraitrait qu'en temps normal je fais une licence d'arts
j'suis pas trop gladiateurs, plus jedis perso mais chacun son truc
c'est Percy qui m'a refilé le lien alors que je cherchais un nouvel abri pour Asmo, et ça n'a pas trainé me voilà, dispo aléatoirement, beaucoup en ce moment parce que le confinement, et il paraitrait qu'en temps normal je fais une licence d'arts
j'suis pas trop gladiateurs, plus jedis perso mais chacun son truc
Dernière édition par Asmodée Yi le Jeu 19 Nov - 22:52, édité 4 fois