sophie delanoe
surnom ;
on pense encore aux « ma puce », « ma grande », « ma chérie » de papa et de maman. Mais les amis se sont toujours contentés de Sophie et ça lui va bien comme ça.âge et date de naissance ;
onze ans, 09/12/2008.origine ;
des racines françaises qu’on ne voit qu’au travers de son nom et de cette langue qu’elle utilise parfois sans faire exprès.genre ;
♀orientation sexuelle ;
on n’y pense pas encore.maison ;
aconits.année d'études ;
première année.depuis ;
moins d’un an.son impression sur ambrose ;
il l’intrigue, Ambrose, elle le voit un peu comme un grand frère dont on n’est pas très proche, un grand frère qui a quitté le foyer familial pour faire sa vie ailleurs, un grand frère dont on ressent cette nostalgie de ne pas connaître malgré le lien de sang qui les unit. Elle aimerait en savoir plus sur lui.son avis sur la magie ;
ça met des étoiles dans les yeux et des picotements dans le bout des doigts. Ça l’émerveille, Sophie, et la nuit ses rêves sont remplis de cette même magie tant ça la fascine. Elle souhaite tout connaître sur le bout des doigts et de devenir une grande sorcière pour rendre fiers papa et maman.avatar ;
kagamine rin — vocaloidanimal totem ;
lapin.signe astrologique ;
sagittaire ascendant scorpion.catalyseur ;
ses mains.matière favorite ;
magie de la terre.particularités physiques ;
elle prend toujours soin de porter un nœud blanc dans ses cheveux, qu’elle passe son temps à redresser à cause de ses cheveux trop fins.tics et manies ;
elle doit toujours avoir quelque chose dans les mains, pour s’occuper. Et quand l’angoisse commence à s’immiscer dans les pensées, ce sont les poings qu’on serre et qu’on desserre à la recherche d’une sensation sur laquelle se concentrer.passions ;
jardiner, que ce soit des petites fleurs ou plantes vertes dans des pots ou bien dans un plus grand jardin dehors. Lire des bouquins sur tout et n'importe quoi, quand toutes les plantes ont eu le temps de recevoir un peu d’amour. Jouer quelques notes de guitare quand le silence arrive.phobie ;
peur de l’abandon, peur de finir seule au monde, perdue dans ce monde bien trop grand pour elle, déjà loin de papa et maman, c’est le malaise qui s’installe dès qu’elle se retrouves
e
u
l
e
avec uniquement ses deux mains à regarder. Sans réellement comprendre pourquoi l’angoisse s’inscrit dans les gestes lorsque personne n’est là pour la regarder.
but ;
devenir grande comme papa et forte comme maman.rêve ;
à l’instant présent, Sophie, elle ne rêve que de réussir dans ses études. Rendre fiers papa et maman. Avoir un petit frère, peut-être ? Si tu lui demandes, elle ne fera que hausser les épaules et répondre quelques mots bancals comme « un monde meilleur ».régime alimentaire ;
on n’a pas encore toutes ses notions de régime alimentaire ni ce que ça implique. Pour Sophie, un régime, c’est pour ceux qui veulent perdre du poids. Et si tu lui demandes ce qu’elle mange, elle répondra simplement « bah, de tout… ».snack préféré ;
quelques quartiers de clémentine avec deux ou trois carrés de chocolat au lait.boisson préférée ;
les briques de lait à la fraise.caractère
Sophie vadrouille.
Fouine.
Se faufile dans les moindres recoins.
Explore.
Découvre toutes ses choses nouvelles et puis elle les note pour ne pas les oublier.
Sophie cherche.
Recherche.
Se retrouve dans les détails sur lesquels, d’ordinaire, on ne s’attarde pas et puis elle les note pour ne pas les oublier.
Sophie veut découvrir des nouveautés, apprendre, s’instruire, comprendre.
Comprendre le monde, comprendre la magie, comprendre les gens et puis après, se comprendre.
Parce que Sophie, lorsqu’elle souhaite découvrir le monde, finalement, c’est aussi elle-même qu’elle souhaite découvrir. Petite enfant qui s’est perdue dans cette école trop grande, qui a lâché trop vite la main de papa et les bras de maman, qui ne sait pas sur quel pied danser lorsqu’ils ne sont pas là pour valider ses faits et gestes.
Sophie
est
Elle rit, Sophie.
Elle parle trop fort, parfois.
Un peu trop vite, aussi.
Elle ne s’en rend compte que lorsqu’on lui fait la remarque et elle se confond en excuses avant de recommencer deux minutes plus tard.
Sophie elle ne voit que la lumière et elle ne supporte pas lorsque l’ombre s’incruste dans les relations, dans les mots, dans les pensées. Elle ne supporte pas laisser le négatif l’emporter alors parfois, elle donne tout, elle fait un peu trop, elle fait beaucoup trop pour laisser le soleil briller à nouveau.
Comme si elle n’avait pas le droit de pleurer ou de se sentir triste.
Comme si c’était interdit.
Alors elle s’éreinte la voix et le corps à chasser la tristesse et les mauvaises ondes, elle enferme tout dans des petites boîtes qu’elle ne souhaite plus ouvrir, elle balaye tout d’un revers de la main en te disant que ton sourire est si beau à voir que ce serait dommage qu’il soit tant caché.
(Pourtant, parfois tu sais, ça fait du bien de pleurer.)
Il y a tant de choses que Sophie ne comprend pas.
Elle est de ces enfants qui se vexent quand on lui dit tu comprendras quand tu seras grande parce que, Sophie, elle est déjà grande, elle peut le prouver en te récitant des formules qu’elle a appris par cœur sans en saisir leur sens ! Sophie, elle veut grandir plus vite, parce qu’elle n’aime pas le flou de l’incompréhension.
Et elle ne comprend pas quand on lui dit profites-en.
Et alors, elle sourit, Sophie.
D’accord, elle en profitera.
Tant pis si on ne comprend pas.
On peut faire
————
connaît sur le bout des doigts le langage des fleurs — monomaniaque — quand elle s’intéresse à un sujet, elle y passe des heures, des jours, des semaines dessus pour en connaître les moindres détails jusqu’à trouver une nouvelle obsession — en réalité, elle ne comprend même pas un quart de ce qu’elle lit mais elle fait semblant — elle s’amuse à répéter ce qu’elle apprend sans comprendre, pour se vanter un peu, parfois — mais si tu lui demandes d’expliquer plus en profondeur, elle n’y arrivera pas — elle sait coudre — elle a tendance à s'attacher beaucoup trop vite — elle a beaucoup hésité entre les aconits et les helvelles mais c'est finalement l'ambiance familiale des aconits qui a gagné — parfois, pendant une petite seconde, elle regrette en regardant avec envie les jardins des helvelles et puis après elle oublie — elle a tendance à imiter les comportements qu'elle voit, qu'ils soient une bonne ou une mauvaise influence — très influençable en général — il suffit de lui donner un ou deux arguments, même bancals, pour qu'elle change d'avis — et parfois, elle change d'avis d'elle-même, pour ne créer aucun conflit — elle a ramené des peluches dans sa valise mais elle n'ose pas les sortir, de peur qu'on se moque d'elle — elle a un journal intime où elle invente des personnalités et des vies à ses plantes — elle a des tonnes de carnets où elle note toutes ses recherches, recopiant ce qu'elle lit dans les livres sans saisir la signification de tous les mots qu'elle note — elle est née et n'a vécu que deux petites années dans la capitale française avant que papa et maman déménagent pour une raison qui lui échappe encore — elle parle français mais pas couramment — elle écrit tous les soirs à papa et maman — elle a souvent les mains sales de terre et ça la gêne, pas parce qu'elle n'aime pas avoir les mains sales mais à cause du regard des autres — fille unique — c'est papa qui lui a appris à jouer de la guitare.
Fouine.
Se faufile dans les moindres recoins.
Explore.
Découvre toutes ses choses nouvelles et puis elle les note pour ne pas les oublier.
Sophie cherche.
Recherche.
Se retrouve dans les détails sur lesquels, d’ordinaire, on ne s’attarde pas et puis elle les note pour ne pas les oublier.
Sophie veut découvrir des nouveautés, apprendre, s’instruire, comprendre.
Comprendre le monde, comprendre la magie, comprendre les gens et puis après, se comprendre.
Parce que Sophie, lorsqu’elle souhaite découvrir le monde, finalement, c’est aussi elle-même qu’elle souhaite découvrir. Petite enfant qui s’est perdue dans cette école trop grande, qui a lâché trop vite la main de papa et les bras de maman, qui ne sait pas sur quel pied danser lorsqu’ils ne sont pas là pour valider ses faits et gestes.
Sophie
perdue
mais son sourire rayonne toujours aussi fort.
mais son sourire rayonne toujours aussi fort.
Elle rit, Sophie.
Elle parle trop fort, parfois.
Un peu trop vite, aussi.
Elle ne s’en rend compte que lorsqu’on lui fait la remarque et elle se confond en excuses avant de recommencer deux minutes plus tard.
Sophie elle ne voit que la lumière et elle ne supporte pas lorsque l’ombre s’incruste dans les relations, dans les mots, dans les pensées. Elle ne supporte pas laisser le négatif l’emporter alors parfois, elle donne tout, elle fait un peu trop, elle fait beaucoup trop pour laisser le soleil briller à nouveau.
Comme si elle n’avait pas le droit de pleurer ou de se sentir triste.
Comme si c’était interdit.
Alors elle s’éreinte la voix et le corps à chasser la tristesse et les mauvaises ondes, elle enferme tout dans des petites boîtes qu’elle ne souhaite plus ouvrir, elle balaye tout d’un revers de la main en te disant que ton sourire est si beau à voir que ce serait dommage qu’il soit tant caché.
(Pourtant, parfois tu sais, ça fait du bien de pleurer.)
Il y a tant de choses que Sophie ne comprend pas.
Elle est de ces enfants qui se vexent quand on lui dit tu comprendras quand tu seras grande parce que, Sophie, elle est déjà grande, elle peut le prouver en te récitant des formules qu’elle a appris par cœur sans en saisir leur sens ! Sophie, elle veut grandir plus vite, parce qu’elle n’aime pas le flou de l’incompréhension.
Et elle ne comprend pas quand on lui dit profites-en.
Et alors, elle sourit, Sophie.
D’accord, elle en profitera.
Tant pis si on ne comprend pas.
On peut faire
semblant.
connaît sur le bout des doigts le langage des fleurs — monomaniaque — quand elle s’intéresse à un sujet, elle y passe des heures, des jours, des semaines dessus pour en connaître les moindres détails jusqu’à trouver une nouvelle obsession — en réalité, elle ne comprend même pas un quart de ce qu’elle lit mais elle fait semblant — elle s’amuse à répéter ce qu’elle apprend sans comprendre, pour se vanter un peu, parfois — mais si tu lui demandes d’expliquer plus en profondeur, elle n’y arrivera pas — elle sait coudre — elle a tendance à s'attacher beaucoup trop vite — elle a beaucoup hésité entre les aconits et les helvelles mais c'est finalement l'ambiance familiale des aconits qui a gagné — parfois, pendant une petite seconde, elle regrette en regardant avec envie les jardins des helvelles et puis après elle oublie — elle a tendance à imiter les comportements qu'elle voit, qu'ils soient une bonne ou une mauvaise influence — très influençable en général — il suffit de lui donner un ou deux arguments, même bancals, pour qu'elle change d'avis — et parfois, elle change d'avis d'elle-même, pour ne créer aucun conflit — elle a ramené des peluches dans sa valise mais elle n'ose pas les sortir, de peur qu'on se moque d'elle — elle a un journal intime où elle invente des personnalités et des vies à ses plantes — elle a des tonnes de carnets où elle note toutes ses recherches, recopiant ce qu'elle lit dans les livres sans saisir la signification de tous les mots qu'elle note — elle est née et n'a vécu que deux petites années dans la capitale française avant que papa et maman déménagent pour une raison qui lui échappe encore — elle parle français mais pas couramment — elle écrit tous les soirs à papa et maman — elle a souvent les mains sales de terre et ça la gêne, pas parce qu'elle n'aime pas avoir les mains sales mais à cause du regard des autres — fille unique — c'est papa qui lui a appris à jouer de la guitare.
histoire
Tu dis ;
Le vie
C’est un court-métrage.
On peut
Pas rester
Trop près du rivage.
Le vie
C’est un court-métrage.
On peut
Pas rester
Trop près du rivage.
coucou moi c’est equaltau ou tau tout simplement. j’suis tombée ici par hasard et j’ai toujours rêvé d’un forum d’école de magie sans que ce soit forcément du HP du coup je aaaaaah
j’aime énormément tous les détails dans les annexes, c’est si complet et tout est si joli
vs êtes très beaux
j’aime énormément tous les détails dans les annexes, c’est si complet et tout est si joli
vs êtes très beaux
Dernière édition par Sophie Delanoe le Dim 23 Aoû - 12:43, édité 3 fois