Corneille Boudreaux
surnom ;
connard, le piaf, le pendejo, la caillera, maître corbeau et son jogging baissé...âge et date de naissance ;
19 ans bientôt - 19 octobre 2001.origines ;
états-uniennes sur le papier mais un peu de mexicain, un peu de béninois par-ci, par-là.ascendance ;
harpie.genre ;
masculin.orientation sexuelle ;
tout-ce-qui-consent-sexuel.maison ;
helvelles pour la Baba Yaga. Quelle ne fut sa tristesse de comprendre que garçons et filles vivaient séparés !année d'études ;
neuvième année, spé langue des esprits.depuis ;
depuis 2015, donc 5 ans grosso merdo.options choisies ;
avait choisi langue des esprits, langue des monstres et biologie magique.son impression sur ambrose ;
trop blanc à son goût.son avis sur la magie ;
elle est son sang et sa sueur, mais il a parfois peur qu'elle le bouffe tout entier un jour.avatar ;
Jason Todd dessiné par 11th sense. Je ne compte utiliser que sa version à elle et pas celle des comics donc si quelqu'un veut prendre Jason en feat, faites-vous plaisir et on fera des battle de qui est le plus beau !animal totem ;
le corbeau.signe astrologique ;
balance, ascendant gémeaux, lune en cancer.catalyseur ;
la babiole en faux diamant qu'il porte sur le lobe de l'oreille droite.matière favorite ;
alchimie.familier ;
une perruche à collier mâle appelé Rico en hommage à la musicienne parce qu'il bully les autres oiseaux et aime hurler du rap à tue-tête.particularités physiques ;
un nez retroussé — des cicatrices et écorchures ici et là — parait plus vieux que son âge en raison de sa carrure imposante — un amour certain pour les bijoux en toc — des bouclettes brunes plus ou moins serrées selon l'humidité de l'air et la qualité de son après-shampooing — 1m88 — un accent du sud des États-Unis très prononcé — des yeux noirs — parfum mélange clope-cannelle-néroli — un style vestimentaire à mi-chemin entre le clodo fou du coin et l'étudiant fauché en arts — de grandes mains, grands pieds, grand *wink wonk*groupe sanguin ;
b+tics et manies ;
ne jamais tenir sur place — appeler tout le monde bitch ou bro — mentir pour un oui et pour un non — fixer le plafond ou les nuages — se prendre les gens ou les lampadaires dans la figure — PARLER EN HURLANT — laisser trainer ses cigarettes — vouloir saisir tout ce qui brille — s'emmêler les pinceaux dans ses propres bobards — sourire sans raison — ne pas arriver à cacher ses émotions — et rire à tue-tête aux jeux de mots nuls.passions ;
le cinéma, plus particulièrement les films d'horreur — le rap improbable (il adore aussi le métal et le dernier album de Taylor Swift mais ça colle difficilement à son street cred) — et bien sûr la glande.phobie ;
vraiment très peu fan des grandes étendues d'eau. La crainte d'être un jour abattu par un flic un peu trop zêlé est toujours présente à l'arrière de son crâne.but ;
à défaut de pouvoir revenir au coven, trouver son propre cercle de sorciers, peut-être.rêve ;
réaliser un film d'horreur amateur.régime alimentaire ;
poubelle humaine (omnivore).snack préféré ;
les frites du McDo trempées dans le McFlurry ou les beignets NOLA.boisson préférée ;
le rhum. Un espresso martini fait tout aussi bien l'affaire.caractère
Outre les AAAAAAYE, le tintement des chaînes, les rires de benêt, ce qui frappe de prime abord chez Corneille c'est globalement son énergie débordante, incontrôlable, épuisante qui détonne comme un coup de soleil en pleine figure et rebondit sur les crânes et les corps en pie sauteuse sur les fils électriques. Ce drôle d'oiseau est une créature qui appartient au jour avec ses airs burlesques et ses discours mégalomanes, fredonnant la sérénade à qui veut bien l'entendre. Mais le piaf est sans cesse suivi d'une ombre terrible, aussi noire que ses colères qui s'abattent d'une seconde à l'autre, claquent et éclatent sans prévenir puis disparaissent dans les nuages sous les sourires cocasses et le chant des poings qui cognent. Corneille est un caïd avec les pépiements des perruches et les doigts qui lui démangent. Un caïd qui ne sait jamais ce qu'il veut, ce qu'il est, ce qu'on attend exactement de lui et se balance constamment d'un bout à l'autre entre la chaleur et l'agressivité puisqu'un rien le fait sortir de ses gonds avec une envie de voler dans les plumes des autres, histoire de voir qui c'est le plus beau coq de la basse-cour. Avec le temps on apprend à s'en tenir à l'écart ou bien à ne pas lui marcher sur les pieds puisque la bête est territoriale mais elle n'est pas bien méchante, pas plus qu'elle n'est intelligente.
Si Corneille a l'oeil vif pour tout ce qui scintille et que son oreille est toujours tendue vers les corbeaux qui viennent lui rapporter les derniers ragots, il n'en demeure pas moins une bestiole devenue casanière maintenant qu'Hellébore l'a curieusement bien dressé. Il se contente du peu qu'elle a, n'exige jamais rien de personne sinon peut-être qu'on le laisse exister à part entière. Bien entendu qu'il aime toujours fourrer ses serres là où ça ne le regarde pas, mais l'animal ne cherche plus ouvertement les noises, à peine quelques miettes de ce qu'on veut bien lui donner quand il quémande sans gêne et sans pudeur, lui qui est friand de caresses et des courbes sèches ou voluptueuses des oiseaux de passage qui partagent sa couette. Sans surprise, l'animal est volage, infidèle, inconstant, drôlement solitaire finalement, vautour voguant d'une carcasse à l'autre sans scrupules et sans remords.
C'est que Corneille a des ambitions aussi simples que ses rêves se sont écorchés. Ses sentiments sont à vifs mais ils fondent au soleil comme la cire sur le plumage d'Icare et à force de trop fixer la lumière, Corneille a les rétines écornées. Un singulier oiseau de proie qui ne voit pas plus loin que le bout de son bec. Albatros faussement habile sur cette île froide d'Europe, imposteur importun sans ailes et guère plus de racines qui ignore vers quel pays il lui faut migrer.
Il n'est pas de ce monde, cet infatigable oiseau moqueur.
autre temps
Corneille n'avait jamais bien compris par quel malheureux hasard la terre brûlée du Bénin avait trainé avec ses hommes et ses chaines cette légende qui pourtant venait d'Afrique du Sud et avait même survécu à ce mélange bancal du vaudou et de chrétienté superstitieuse venue du Mexique paternel. Après tout la Nouvelle-Orléans était un vivier de cultures disparates, pot pourri de croyances et de magies hybrides où anciens colons d'Europe s'étaient mélangés aux forcenés libérés des îles et de l'Afrique. De toutes façons, l'esclavage, ce brutal déracinement des anciens avait déjà noyé l'histoire dans les champs de coton et les marécages du bayou. Tout le monde avait fini par accepter le fait que la piste du mythe fondateur de la lignée était déjà brouillée depuis bien longtemps et embrassait donc sans aucun mal le métissage.
Ce que Corneille avait vite compris en revanche, c'était que son existence dérangeait. Les femmes de cette petite lignée là du coven avaient beau se vanter d'avoir su dompter l'impudulu, l'oiseau tonnerre des tribus sud africaines, elles ne s'attendaient pas à ce qu'un jour sa longe puisse s'échouer entre des mains masculines. Dans le corps d'un homme, l'orage et le courroux sauvages de cet esprit ancestral étaient en effet synonymes de malédiction.
Mais la Mama l'avait tout de même pris sous son aile. Vilain petit canard ou pas, on abandonnait pas comme ça un oisillon du nid. C'était ce qu'aurait voulu sa fille avant que les sirènes de police l'aient emporté une dernière fois, qu'un uniforme bleu ait tiré une fois de trop dans une descente de flics. Corneille ne l'avait pas vraiment pleuré, à vrai dire il n'était qu'un poussin entassé avec les autres cousins et cousines sous la garde d'une tantine du coven quand tout cela s'était produit. De sa mère, il n'en connaissait que le nom que Mama soufflait tantôt aux esprits ancestraux, tantôt au prêtre du dimanche, le surnom affectif de Brujas que la grosse voix de son père lui soupirait à travers le combiné du téléphone, les photos d'une belle femme aux cheveux très noirs et aux yeux plus noirs encore. Et en soit peu lui importait, Corneille avait grandi sans l'amour d'une seule génitrice mais il avait grandi avec l'amour de demi-soeurs, de cousines, de tantes et même de Mama. C'était un amour vache, entrecoupé de coups et de larmes, mais c'était le seul amour qui comptait.
Le coven n'était pas une famille parfaite, loin de là. C'était une famille bancale, disparate à l'image de ses racines qui bougeait sans cesse d'un bout de la Louisiane à l'autre soit-disant pour plaire aux esprits bien qu'en grandissant, Corneille avait compris que c'était autant pour renouveler les énergies que pour échapper à la vigilance des flics, services sociaux et agents d'immigration.
Corneille y aurait pu être parfaitement heureux lui aussi si un premier caprice ne lui fit pas se prendre le bec avec l'un de ses cousins alors qu'il était encore bambin et que tout le monde réalisât avec horreur que la Mama avait engendré à travers sa fille un héritier à son image. Corneille n'avait jamais aussi bien porté son nom : le terrible oiseau-tonnerre s'était éveillé en lui et depuis, on tenait les filles à distance respectueuse de ce mauvais sang.
Mama eut beau lui montrer comment tempérer ses ardeurs, comment elle faisait elle pour calmer l'impudulu dans sa poitrine tombante, cacher les plumes sous ses cheveux crépus devenus gris, Corneille était un enfant terrible et un adolescent plus terrible encore. La maison du coven tremblait chaque fois qu'une dispute de plus y éclatait.
Puis il y eut Noûr et sa tante, la Nana, qui rejoignirent le coven. La famille accueillait après tout à bras ouverts n'importe quel sorcier amateur d'arcanes obscures. Mais la Nana avait le coeur aussi noir que sa magie. Les baffes qu'elle donnait laissaient des traces de griffes sur les joues et ses reproches coupaient comme des lames de rasoir. Corneille ne l'avait jamais aimée. Pas comme il aima Noûr qui elle aimait le cinéma, le métal et courir sur les toits.
Ainsi quand Ambrose s'en vint sonner à sa porte, on accueillit l'invitation à Hellébore comme un cadeau des ancêtres. Il était temps d'expédier la mauvaise graine sur cette terre nouvelle, là où le climat froid et les vents capricieux viendraient peut-être emporter ses ardeurs. Mais Corneille ne voulait pas : Le coven était sa maison. Noûr était sa maison.
Cependant, le ciel d'été à l'aube de ses 14 ans était lourd et chargé d'électricité. Le déluge s'abattit sans sommation sur le coven et sur la tête de Nana. Quand les plumes et les serres eurent raison de la cruauté de Nana, Mama n'eut d'autre choix que de renier son petit-fils.
Ce fut ainsi que Corneille s'échoua sur les côtes irlandaises, pays gris, pays fade, sans crocodiles et sans marécages où les gens buvaient leur thé chaud, sans tranches de citron et mangeaient leurs pommes de terre avec des haricots mais sans épices. Autant dire que Corneille ne s'y plut pas vraiment. Cette île avait des couleurs ternes, sa magie était vieille, organique et presque désuète et ses esprits bien moins bavards ne demandaient que rarement des sacrifices. Drôle de contrée.
Les premières années furent un mélange de fureur, de mal du pays et de révolte. Les 400 coups, Corneille les avait presque tous fait, avait écopé de nombre de punitions et manqué d'écloper nombre de ses petits camarades jusqu'à être repris avec toute la sévérité et la rigueur dont il avait besoin. Le bordel des helvelles n'avait pas la même saveur que celui du coven mais avec le temps, Corneille apprit que c'était tout ce qu'il avait et s'y résigna à s'y faire une place jusqu'à sa majorité où il fuit les dortoirs pour louer un appartement vieux et humide qui lui rappelait avec une certaine nostalgie amère la cave de Mama. Étudiant paresseux, pas bien bosseur et pas bien passionné par nombre de matières trop occidentales à son goût, il cultiva d'autres passions comme celle de la musique ou du cinéma, fuyant souvent la campagne pour fouiner en ville lors des vacances et redécouvrir à travers les écrans de cinéma et les clips de pop en vogue l'Amérique qui l'avait vu naitre. Mais jamais trop longtemps comme on lui avait enseigné Mama, revenant toujours sagement au nid pour un nouveau semestre, une nouvelle année.
Aujourd'hui, il se donne encore un an ou deux, redoutant à nouveau l'exil, le moment où il lui faudra encore déployer ses ailes quand on le chassera ailleurs une fois le diplôme final obtenu.
Ce que Corneille avait vite compris en revanche, c'était que son existence dérangeait. Les femmes de cette petite lignée là du coven avaient beau se vanter d'avoir su dompter l'impudulu, l'oiseau tonnerre des tribus sud africaines, elles ne s'attendaient pas à ce qu'un jour sa longe puisse s'échouer entre des mains masculines. Dans le corps d'un homme, l'orage et le courroux sauvages de cet esprit ancestral étaient en effet synonymes de malédiction.
Mais la Mama l'avait tout de même pris sous son aile. Vilain petit canard ou pas, on abandonnait pas comme ça un oisillon du nid. C'était ce qu'aurait voulu sa fille avant que les sirènes de police l'aient emporté une dernière fois, qu'un uniforme bleu ait tiré une fois de trop dans une descente de flics. Corneille ne l'avait pas vraiment pleuré, à vrai dire il n'était qu'un poussin entassé avec les autres cousins et cousines sous la garde d'une tantine du coven quand tout cela s'était produit. De sa mère, il n'en connaissait que le nom que Mama soufflait tantôt aux esprits ancestraux, tantôt au prêtre du dimanche, le surnom affectif de Brujas que la grosse voix de son père lui soupirait à travers le combiné du téléphone, les photos d'une belle femme aux cheveux très noirs et aux yeux plus noirs encore. Et en soit peu lui importait, Corneille avait grandi sans l'amour d'une seule génitrice mais il avait grandi avec l'amour de demi-soeurs, de cousines, de tantes et même de Mama. C'était un amour vache, entrecoupé de coups et de larmes, mais c'était le seul amour qui comptait.
Le coven n'était pas une famille parfaite, loin de là. C'était une famille bancale, disparate à l'image de ses racines qui bougeait sans cesse d'un bout de la Louisiane à l'autre soit-disant pour plaire aux esprits bien qu'en grandissant, Corneille avait compris que c'était autant pour renouveler les énergies que pour échapper à la vigilance des flics, services sociaux et agents d'immigration.
Corneille y aurait pu être parfaitement heureux lui aussi si un premier caprice ne lui fit pas se prendre le bec avec l'un de ses cousins alors qu'il était encore bambin et que tout le monde réalisât avec horreur que la Mama avait engendré à travers sa fille un héritier à son image. Corneille n'avait jamais aussi bien porté son nom : le terrible oiseau-tonnerre s'était éveillé en lui et depuis, on tenait les filles à distance respectueuse de ce mauvais sang.
Mama eut beau lui montrer comment tempérer ses ardeurs, comment elle faisait elle pour calmer l'impudulu dans sa poitrine tombante, cacher les plumes sous ses cheveux crépus devenus gris, Corneille était un enfant terrible et un adolescent plus terrible encore. La maison du coven tremblait chaque fois qu'une dispute de plus y éclatait.
Puis il y eut Noûr et sa tante, la Nana, qui rejoignirent le coven. La famille accueillait après tout à bras ouverts n'importe quel sorcier amateur d'arcanes obscures. Mais la Nana avait le coeur aussi noir que sa magie. Les baffes qu'elle donnait laissaient des traces de griffes sur les joues et ses reproches coupaient comme des lames de rasoir. Corneille ne l'avait jamais aimée. Pas comme il aima Noûr qui elle aimait le cinéma, le métal et courir sur les toits.
Ainsi quand Ambrose s'en vint sonner à sa porte, on accueillit l'invitation à Hellébore comme un cadeau des ancêtres. Il était temps d'expédier la mauvaise graine sur cette terre nouvelle, là où le climat froid et les vents capricieux viendraient peut-être emporter ses ardeurs. Mais Corneille ne voulait pas : Le coven était sa maison. Noûr était sa maison.
Cependant, le ciel d'été à l'aube de ses 14 ans était lourd et chargé d'électricité. Le déluge s'abattit sans sommation sur le coven et sur la tête de Nana. Quand les plumes et les serres eurent raison de la cruauté de Nana, Mama n'eut d'autre choix que de renier son petit-fils.
Ce fut ainsi que Corneille s'échoua sur les côtes irlandaises, pays gris, pays fade, sans crocodiles et sans marécages où les gens buvaient leur thé chaud, sans tranches de citron et mangeaient leurs pommes de terre avec des haricots mais sans épices. Autant dire que Corneille ne s'y plut pas vraiment. Cette île avait des couleurs ternes, sa magie était vieille, organique et presque désuète et ses esprits bien moins bavards ne demandaient que rarement des sacrifices. Drôle de contrée.
Les premières années furent un mélange de fureur, de mal du pays et de révolte. Les 400 coups, Corneille les avait presque tous fait, avait écopé de nombre de punitions et manqué d'écloper nombre de ses petits camarades jusqu'à être repris avec toute la sévérité et la rigueur dont il avait besoin. Le bordel des helvelles n'avait pas la même saveur que celui du coven mais avec le temps, Corneille apprit que c'était tout ce qu'il avait et s'y résigna à s'y faire une place jusqu'à sa majorité où il fuit les dortoirs pour louer un appartement vieux et humide qui lui rappelait avec une certaine nostalgie amère la cave de Mama. Étudiant paresseux, pas bien bosseur et pas bien passionné par nombre de matières trop occidentales à son goût, il cultiva d'autres passions comme celle de la musique ou du cinéma, fuyant souvent la campagne pour fouiner en ville lors des vacances et redécouvrir à travers les écrans de cinéma et les clips de pop en vogue l'Amérique qui l'avait vu naitre. Mais jamais trop longtemps comme on lui avait enseigné Mama, revenant toujours sagement au nid pour un nouveau semestre, une nouvelle année.
Aujourd'hui, il se donne encore un an ou deux, redoutant à nouveau l'exil, le moment où il lui faudra encore déployer ses ailes quand on le chassera ailleurs une fois le diplôme final obtenu.
mâo, plus hamster qu'oiseau en vrai. Après vous avoir présenté un gentil boomer, je viens me venger avec un enfant sauvage. J'espère qu'on vivra des aventures fantastiques ensemble !
Sinon vous saviez qu'il existait une comédie musicale gladiateurs ?
Sinon vous saviez qu'il existait une comédie musicale gladiateurs ?
Dernière édition par Corneille Boudreaux le Sam 10 Oct - 16:30, édité 10 fois