Diana Stephens
surnom ;
jeune on la surnommait Didi, l'adolescence a changé bien des choses.âge et date de naissance ;
16 ans ; 18 mai 2004origines ;
nationalité américaine, née dans une clinique à Chicago.genre ;
fémininorientation sexuelle ;
bisexuelle, mais avec des lignes masculines ou des courbes féminines, il faut aussi une belle âme.maison ;
helvelles ; champignonsannée d'études ;
année spécialiséedepuis ;
depuis un an et quelques moisoptions choisies ;
langue des esprits, divination et histoireson impression sur ambrose ;
Ambrose qui ? Hormis le jour de leur rencontre, elle ne l'a plus jamais revu et Diana n'est pas du genre à s'intéresser aux gens qu'elle ne connaît pas. Elle admet cependant qu'il en faut de la dévotion pour voyager sans cesse à la recherche de tous les cas.son avis sur la magie ;
partagée, c'est un nouveau poids pour ses épaules et aussi une porte de sortie. Elle veut maintenant la comprendre, mais ignore encore si elle construira sa vie avec la magie.avatar ;
blue sargent dans the raven cycle + oc girl de casanovakevinanimal totem ;
un renard rouxsigne astrologique ;
taureau et singe de boiscatalyseurs ;
ce sont ses cordes vocales, ou les tatouages runiques sur ses poignets.matières favorites ;
les cours d'alchimie et d'enchantements ont sa préférence.familier ;
un corbeau imposant qu'elle a nommé Shadow, ce dernier a un faible pour les mâles. Diana tente de le convaincre de se charger du courrier.particularités physiques ;
plutôt petite et musclée ■ ce sont ses cheveux bouclés et presque indomptables qui la rendent repérable ■ une peau d'ébène qui fait sa fierté, mais parsemée, sur le visage, de tâches de rousseur qu'elle tente de cacher ■ des oreilles percées et souvent décorées selon ses humeurs ■ corps qui se veut garçon manqué même s'il continue de développer des courbes féminines ■ vêtements confortables et souvent légers, bien que tomboy elle sait aussi être coquette et apprécie d'étayer sa garde robe ■ une voix plus douce que ne suggère ses manières brusques ■ elle fuit les talons hauts.groupe sanguin ;
AB+tics et manies ;
tire la langue quand elle réfléchit ; regarde toujours les chaussures des gens avant de leur parler ; choisit une personne par jour et lui fait un compliment (vieille habitude).passions ;
coudre est ce qui la détend le plus, elle aime redonner vie à de vieux vêtements, transformer sa garde robe et surprendre avec des associations étonnantes ■ la lecture est sa deuxième passion, il n'est pas rare de la voir un livre à la main, ses goûts sont variés, même si Diana a un faible pour les légendes ou ce qui concerne l'espace ■ enfin elle a toujours été attirée par la divination sous toutes ses formes (feuilles de thé, astrologie, cartes, lignes de la main...).phobie ;
être oubliée/ignorée soit l'athazagoraphobie ou se faire ghoster comme on ditbut ;
réaliser un de ses rêvesrêve ;
n'ose pas en avoir un pour le momentrégime alimentaire ;
elle aime répondre qu'elle est flexitarienne quand on lui pose la question, quand elle pourrait simplement dire qu'elle est omnivore et fait gaffe à sa nourriture.snack préféré ;
des mikados quand elle est en colère ; des fruit secs quand elle est de bonne humeur et des brownies avocat et beurre de cacahuètes quand elle est triste.boissons préférées ;
le chocolat chaud quand il fait froid et le thé glacé quand il fait chaud.caractère
déterminée ○ ambitieuse ○ franche ○ autonome ○ prudente ○ loyale ○ attentive ○ observatrice ○ sensible ○ créative ○ adroite ○ désordonnée ○ minutieuse ○ silencieuse
Il n'y avait rien de plus dangereux que les rêves dans la vie de Diana. Ce n'est pas qu'elle se les interdisait, mais les affres de la vie l'obligeaient à avoir les pieds sur terre et les seuls instants où elle s'autorisait à avoir la tête dans les étoiles, c'était quand la nuit la protégeait de la réalité ou lorsque son regard se promenait sur les vitrines exposant des vêtements.
Si rêver n'aidait pas à survivre dans le quartier qui l'avait vu naître, être observatrice et prudente permettait de s'assurer une vie relativement tranquille. Deviner les émotions des gens, leurs prochains gestes, connaître leurs habitudes et leurs goûts, tout cela relevait d'un véritable boulot d'enquêteur qui était devenu une routine. De plus, Diana aimait ça analyser les gens et essayer de les comprendre, cela satisfaisait sa curiosité et surtout servait ses intérêts personnels. Cela lui évitait également d'engager des conversations interminables durant lesquelles elle finissait forcément par sortir une vérité dérangeante ou un sarcasme qui lui attirait une remarque, quand ce n'était pas des ennuis.
La jeune fille gérait mal l'intensité avec laquelle elle s'engageait dans ses relations avec les autres. Certains lui reprochaient d'être indifférente et froide, tandis que d'autres la disaient envahissante. Ce n'était qu'avec du temps que Diana finissait par trouver la bonne distance en fonction des personnes, mais il était souvent trop tard. Elle pouvait compter sur ses mains le nombre de ses véritables amis. Cette situation aurait pu être difficile, cependant l'adolescente en était heureuse puisque tout recommencer à zéro ne faisait que la rendre inconfortable et maladroite. Si elle mémorisait les visages des gens rapidement, elle oubliait tout aussi vite leurs prénoms. Encore une fois, c'était du temps qu'il lui fallait pour construire une amitié, et une fois qu'elle s'attachait, il lui était difficile d'abandonner la personne.
Cette façon de se comporter s'expliquait peut-être par le fait qu'elle était fille unique dans une fratrie de trois garçons avec pour parents : une mère qui disparaissait le jour et des grands-parents qui carburaient à l'optimisme et aux paroles de Stephen Colbert. Faire sa place dans ce petit appartement faisait office d'exploit, mais la brunette y était parvenue, d'abord en marchandant pour obtenir ce qu'elle voulait (comme la meilleure place à table), puis en découvrant ses talents.
Il y eut en premier son amour pour l'eau qui la conduisit à suivre les cours de natation dispensés par le centre communautaire du coin. Sa petite stature frêle se muscla et sa passion devint compétition. Médailles remportées au prix de sacrifices, mais dont les récompenses suffisaient au moins à combler les besoins de ses frères. C'est néanmoins à son bonheur qu'elle pensa la première fois qu'elle transforma une ancienne robe de sa mère en jupe, effaçant l'objet des moqueries et créant l'instrument de jalousie. Des doigts de fée associés à une imagination qui n'a pas encore été affectée par la pourriture du monde, Diana crée et se transforme chaque fois un peu plus. Deux façons d'échapper au poids des responsabilités, à des grands-parents qui se lient peu à peu d'amitié avec la mort, à une mère qui vit pour son travail, à un grand frère qui ne fait que rêver et des marmots qui l'appellent « maman ».
Si rêver n'aidait pas à survivre dans le quartier qui l'avait vu naître, être observatrice et prudente permettait de s'assurer une vie relativement tranquille. Deviner les émotions des gens, leurs prochains gestes, connaître leurs habitudes et leurs goûts, tout cela relevait d'un véritable boulot d'enquêteur qui était devenu une routine. De plus, Diana aimait ça analyser les gens et essayer de les comprendre, cela satisfaisait sa curiosité et surtout servait ses intérêts personnels. Cela lui évitait également d'engager des conversations interminables durant lesquelles elle finissait forcément par sortir une vérité dérangeante ou un sarcasme qui lui attirait une remarque, quand ce n'était pas des ennuis.
La jeune fille gérait mal l'intensité avec laquelle elle s'engageait dans ses relations avec les autres. Certains lui reprochaient d'être indifférente et froide, tandis que d'autres la disaient envahissante. Ce n'était qu'avec du temps que Diana finissait par trouver la bonne distance en fonction des personnes, mais il était souvent trop tard. Elle pouvait compter sur ses mains le nombre de ses véritables amis. Cette situation aurait pu être difficile, cependant l'adolescente en était heureuse puisque tout recommencer à zéro ne faisait que la rendre inconfortable et maladroite. Si elle mémorisait les visages des gens rapidement, elle oubliait tout aussi vite leurs prénoms. Encore une fois, c'était du temps qu'il lui fallait pour construire une amitié, et une fois qu'elle s'attachait, il lui était difficile d'abandonner la personne.
Cette façon de se comporter s'expliquait peut-être par le fait qu'elle était fille unique dans une fratrie de trois garçons avec pour parents : une mère qui disparaissait le jour et des grands-parents qui carburaient à l'optimisme et aux paroles de Stephen Colbert. Faire sa place dans ce petit appartement faisait office d'exploit, mais la brunette y était parvenue, d'abord en marchandant pour obtenir ce qu'elle voulait (comme la meilleure place à table), puis en découvrant ses talents.
Il y eut en premier son amour pour l'eau qui la conduisit à suivre les cours de natation dispensés par le centre communautaire du coin. Sa petite stature frêle se muscla et sa passion devint compétition. Médailles remportées au prix de sacrifices, mais dont les récompenses suffisaient au moins à combler les besoins de ses frères. C'est néanmoins à son bonheur qu'elle pensa la première fois qu'elle transforma une ancienne robe de sa mère en jupe, effaçant l'objet des moqueries et créant l'instrument de jalousie. Des doigts de fée associés à une imagination qui n'a pas encore été affectée par la pourriture du monde, Diana crée et se transforme chaque fois un peu plus. Deux façons d'échapper au poids des responsabilités, à des grands-parents qui se lient peu à peu d'amitié avec la mort, à une mère qui vit pour son travail, à un grand frère qui ne fait que rêver et des marmots qui l'appellent « maman ».
histoire
▬ Voir un inconnu dans le minuscule salon-cuisine de votre appartement n'était déjà pas banal pour toi Diana. Ce dernier souriait, un bol rempli de thé à la main – sûrement parce que Terrence n'avait toujours pas fait la vaisselle – et installé dans le vieux fauteuil récupéré chez un ancien locataire. Il ne semblait pas dérangé par les bruits de la télé et par ta grand-mère qui se lançait dans la réalisation de crêpes vegannes. Mais le plus extraordinaire ce fut la raison de sa visite : toi. Toi et le potentiel magique que tu avais. Grand-père s'exclama qu'il avait toujours su qu'une autre sorcière verrait le jour dans la famille depuis que sa tante était revenue d'un long voyage et tirait les cartes pour qui le voulait. Tu eus le choix entre partir et développer ta magie, ou rester et oublier.
Choix pourri, mais choix tout de même.
Tu partis.
▬ Arrivée comme une fleur dans un environnement aux antipodes de tout ce que tu avais connu, l'adaptation fut compliquée. Dirigée vers l'année spécialisée où des élèves, trouvés comme toi tard, suivent des cours intenses pour rejoindre le niveau approprié pour leur âge. Tu te sens bien en petit comité, même si à quinze ans on a suspecté que tu étais atteinte du mal moderne car la partie pratique n'était pas aussi maîtrisée que l'aspect théorique ; en réalité, ta magie passe par tes cordes vocales dont tu fais l'économie. Un changement que tu dois faire, mais tu as préféré te faire tatouer aux poignets des runes pour compenser et espérer intégrer les classes « normales » à la fin de ta seconde année.
Choix pourri, mais choix tout de même.
Tu partis.
▬ Arrivée comme une fleur dans un environnement aux antipodes de tout ce que tu avais connu, l'adaptation fut compliquée. Dirigée vers l'année spécialisée où des élèves, trouvés comme toi tard, suivent des cours intenses pour rejoindre le niveau approprié pour leur âge. Tu te sens bien en petit comité, même si à quinze ans on a suspecté que tu étais atteinte du mal moderne car la partie pratique n'était pas aussi maîtrisée que l'aspect théorique ; en réalité, ta magie passe par tes cordes vocales dont tu fais l'économie. Un changement que tu dois faire, mais tu as préféré te faire tatouer aux poignets des runes pour compenser et espérer intégrer les classes « normales » à la fin de ta seconde année.
j'aime les chocapics. Je reviens dans le monde du rp après une coupure de deux ans, j'avoue que le nombre de membres me fait un peu peur... Du sang, de la sueur, des muscles... faut-il en dire plus ?
Dernière édition par Diana Stephens le Ven 9 Oct - 17:10, édité 1 fois