Faith Edith Winchester
surnom ;
Didi le plus souvent, certains se tentent à l'appeler Ed.âge et date de naissance ;
du 29 février 1996, elle a donc 24 ans... ou plutôt 7 ans.origine ;
anglaise.genre ;
féminin.orientation sexuelle ;
demi-sexuelle et pan-romantique.ancienne maison ;
helvelles.métier ;
professeure de bien-être.depuis ;
cette année, elle enseigne pour la première fois depuis la rentrée.son impression sur ambrose ;
elle est persuadée que c'est un alien venu leur apporter le savoir d'une lointaine galaxie.son avis sur la magie ;
ça a donné un genre de sens à sa vie et pour cela, elle dit merci.avatar ;
Xiao Wei de Beloved.animal totem ;
une abeille.signe astrologique ;
poisson et rat de feu.catalyseur ;
sa peau de façon générale, même si beaucoup de monde pense que ce sont ses mains.matière favorite ;
l'alchimie.familier ;
un ours brun s'appelant Gil.particularités physiques ;
1m70 pour 59 kg ; les cheveux châtains décolorés en blanc ; les yeux verts d'eau ; la peau laiteuse et impeccable ; oreilles percées et boucles asymétriques, porte Saturne à l'une d'elle ; les ongles toujours couverts du même vernis rouge ; le style vestimentaire changeant ; porte des lunettes de repos.groupe sanguin ;
B+.tics et manies ;
parle beaucoup avec les mains ; marmonnes quand elle réfléchie ; parle seule aussi et aux objets, plantes, etc, qui l'entourent ; leur donne des noms ; souris énormément ; hausse des épaules quand elle ne sait pas quoi dire, fume de temps en temps, notamment quand elle stresse et se bouffe les doigts aussi.passions ;
les théories du complot, les aliens et fabriquer des bath bombs rituelles.phobie ;
19h24.but ;
remettre la magie au goût du jour via des soins et de la cosmétique, ainsi que transmettre quelque chose, notamment à ses élèves.rêve ;
faire un selfie avec un dragon.régime alimentaire ;
fléxitarienne.snack préféré ;
le fromage de manière général, les bonbons au pamplemousse et les petits pois crues.boisson préférée ;
un grand late au caramel avec supplément crème ou un chocolat chaud.caractère
Si elle était un animal, Edith serait une créature, petite et délicate, pouvant sembler insignifiante, mais qui ne manque pas de liberté et d’utilité. Une abeille ouvrière lui irait bien, ou encore une mésange bleue. Si elle était un arbre, elle serait un bouleau. Une forêt de troncs blancs se perdant dans des rainures plus sombres. Si Edith était une fleur, elle serait une fleur des champs, un coquelicot parmi les autres, mêlé aux tiges de blés mûrs et aux bleuets. Si elle était un fruit, elle serait une pêche à la peau douce. Si elle était un condiment, Edith serait de l’anis étoilé et du clous de girofle, autant pour leur goût que leurs propriétés magiques. Si Edith était un métal, elle serait un métal de transition tel que le cobalt. Si elle était une couleur, elle serait le gris de l’orage qui se lève à l’horizon au dessus de la mer, ou alors une couleur néon, qui ne brille que la nuit. Si elle était une pierre, Edith serait une améthyste ou encore un lapis-lazuli, pour leur bienfaits naturels respectif. Si elle était un parfum, elle serait de la lavande, celle que l’on met et dans les armoires pour que cela sente toujours bon. Si Edith était une saveur, elle serait acidulée, tel un citron yuzu ou encore les soucoupes pleines de sucre piquant. Si elle était un instrument de musique, elle serait une clarinette ou un saxophone, pour la musique dansante qu’ils procurent tout deux et parce que le Jazz. Et enfin, si Edith était un objet de collection, elle serait des pierres brutes, des photos de nus, des gadgets amusants et inutiles.
Edith, elle n'est pas d'ici. Edith c'est un être du ciel, qui dérive et s'égare si facilement. Qui a encore parfois du mal à nous comprendre, à nous saisir, nous êtres terrestres que nous sommes. Edith c'est le soleil qui filtre au travers du feuillage des arbres, c'est la brise légère qui apaise ; Edith c'est la force tranquille, la force douce. Elle a l'âme enfantine, le sourire constant et elle voit le bon, tout en ayant conscience du mauvais. C'est une âme lucide, peut-être même un peu trop et c'est sûrement pour cela qu'elle est souvent incomprise. Edith elle est perchée, Edith elle n'est pas normale, Edith c'est une weird girl ; une freak. Elle l'a si souvent entendu, tellement qu'elle a fini par l'accepter, par le prendre comme une qualité. Elle a ce côté très chill qui peut déstabiliser, cette capacité à rester le plus clair du temps calme… même si parfois ça s’agite ; ça se chamboule au-dedans. Les colères sont rares et éphémères, mais non pas sans éclats, à l'image d'un orage d'été. Edith a le sarcasme pour seule réelle arme, et sa risette éternelle pour bouclier. Connue pour être un bon public, elle a souvent pu constater à quel point elle pouvait être drôle malgré elle, autant par son attitude que par ce qu’elle peut dire. Edith elle ne sait pas toujours exprimer ce qu’elle a sur le cœur, ce qu’elle pense vraiment, bien qu’elle soit particulièrement honnête et loyale… elle n’aime pas tourner autour du pot, même si parfois, c’est plus simple ainsi. Elle est un petit soleil Edith, qui éclaire sans éblouir de trop, que l’on peut regarder sans ménagement. Cependant, chaque lumière cache une part de ténèbres.
* * *
Edith, elle n'est pas d'ici. Edith c'est un être du ciel, qui dérive et s'égare si facilement. Qui a encore parfois du mal à nous comprendre, à nous saisir, nous êtres terrestres que nous sommes. Edith c'est le soleil qui filtre au travers du feuillage des arbres, c'est la brise légère qui apaise ; Edith c'est la force tranquille, la force douce. Elle a l'âme enfantine, le sourire constant et elle voit le bon, tout en ayant conscience du mauvais. C'est une âme lucide, peut-être même un peu trop et c'est sûrement pour cela qu'elle est souvent incomprise. Edith elle est perchée, Edith elle n'est pas normale, Edith c'est une weird girl ; une freak. Elle l'a si souvent entendu, tellement qu'elle a fini par l'accepter, par le prendre comme une qualité. Elle a ce côté très chill qui peut déstabiliser, cette capacité à rester le plus clair du temps calme… même si parfois ça s’agite ; ça se chamboule au-dedans. Les colères sont rares et éphémères, mais non pas sans éclats, à l'image d'un orage d'été. Edith a le sarcasme pour seule réelle arme, et sa risette éternelle pour bouclier. Connue pour être un bon public, elle a souvent pu constater à quel point elle pouvait être drôle malgré elle, autant par son attitude que par ce qu’elle peut dire. Edith elle ne sait pas toujours exprimer ce qu’elle a sur le cœur, ce qu’elle pense vraiment, bien qu’elle soit particulièrement honnête et loyale… elle n’aime pas tourner autour du pot, même si parfois, c’est plus simple ainsi. Elle est un petit soleil Edith, qui éclaire sans éblouir de trop, que l’on peut regarder sans ménagement. Cependant, chaque lumière cache une part de ténèbres.
« Je viens du ciel et les étoiles entre elles ne parlent que de toi. »
— Petite Marie, Francis Cabrel.
— Petite Marie, Francis Cabrel.
histoire
On se dit tous que la campagne c’est sympa.
Qu’une petite ville au milieu de nul part c’est forcément un endroit plaisant, surtout pour avoir des enfants. Que la vie y est simple, tranquille, qu’il n’y a jamais de problèmes. Que tout ça, cela n’arrive que dans les grandes villes et surtout, qu’aux autres.
Avons, avouez… on l’a déjà tous pensé.
On se l’est déjà tous dit, au moins une fois.
Et pourtant…
Cette petite bourgade d’Angleterre, pas si loin de Londres en plus, avec son cinéma aux sièges grinçants, avec cette épicerie de nuit des plus flippantes et son minable collège ; ça a été mon Enfer.
C’est dans ce foyer bien trop vide que tu as grandis. Papa et maman trop peu présents, trop pris par leur boulot et c’est Jenna qui t’a « élevé », la mauvaise nounou. Dès ton plus jeune âge, tu as été jugée différente Faith. Dès ton plus jeune âge, on t’a exclue et on s’est mis à penser que tu avais juste beaucoup d’imagination. On te regardais si peu, on ne s’intéressait pas à toi et c’est sûrement à cause de cela, que tu as mis longtemps à comprendre tes congénères. Que tu as mis longtemps à aimer et qu’aujourd’hui t’en es littéralement malade. Tu t’es toujours sentie en marge, à part, différente et c’était un peu leur fautes… mais peut-être qu’ils avaient raison ?
Le collège a creusé le fossé ou ta tombe Faith ? Ta magie s’est libérée, doucement le plus souvent et parfois, brutalement… aussi vive que les coups et les mauvais tours qu’ils pouvaient te faire. Les larmes silencieuses qui roulent sur tes joues, en échos au silence de tes propres parents ; en échos à leur ignorance.
Il t’a fallu attendre les quatorze ans pour qu’il te trouve, pour qu’Ambrose te libère de cette prison qu’était « chez-toi ». C’est à ce moment-là que Faith a commencé à disparaître, pour laisser la place à Edith et commencer cette nouvelle vie à Hellébore.
Pas facile au début.
T’étais pas bien partie dans la vie, mais lui, il t’a vu. Il s’est approché et il t’a guidé, et aux travers de vos manques respectifs, de vos blessures personnelles et de son amitié, tu as goûté à l’Amour. Le vrai, celui avec un grand A. Puis ils ont été trois, quatre, cinq et six… vous vous êtes aimé passionnément à six, un peu comme on s’aime à deux. Et ils ont fini par partir, parce qu’ils ont grandi Edith et toi, tu es restée, parce que tu voulais ton diplôme.
C’est avec le cœur trop plein et à la fois trop vide, seule que tu t’es confronté à un nouveau démon. Un monstre qui te poursuit encore, s’accroche à tes chevilles et n’en démord pas. Un cours de divination et là ça tombe, comme la roue du Destin qui s’écroule sur elle-même : tu mourras à 19h24. Tu aurais pu passer au-dessus, surtout que ce n’est pas une malédiction, mais c’est tout comme… chaque jour, à l’heure fatidique, tu sens ton cœur battre plus fort, ton souffle t’échapper et la peur au ventre, tu attends.
Encore et encore, que les aiguilles pointent sur 19h25.
Tu sais pourtant que la mort fait partie du voyage, tu as eu mainte fois l’occasion de le découvrir en cours, mais qu’importe, cette terreur qui t’habite est trop grande.
La dixième année s’est finie.
Tu as fait tes valises et tu as parcouru un temps le monde, voyant, apprenant de nouvelles choses et n’ayant nul port ou t’arrêter définitivement. Pourtant Edith, tu les as bien cherchés, même un peu attendu, surtout lui… mais tu n’as rien trouvé.
Et tu as fini par rentrer.
Au seul endroit qui a été un peu chez toi.
Hellébore.
Qu’une petite ville au milieu de nul part c’est forcément un endroit plaisant, surtout pour avoir des enfants. Que la vie y est simple, tranquille, qu’il n’y a jamais de problèmes. Que tout ça, cela n’arrive que dans les grandes villes et surtout, qu’aux autres.
Avons, avouez… on l’a déjà tous pensé.
On se l’est déjà tous dit, au moins une fois.
Et pourtant…
Cette petite bourgade d’Angleterre, pas si loin de Londres en plus, avec son cinéma aux sièges grinçants, avec cette épicerie de nuit des plus flippantes et son minable collège ; ça a été mon Enfer.
C’est dans ce foyer bien trop vide que tu as grandis. Papa et maman trop peu présents, trop pris par leur boulot et c’est Jenna qui t’a « élevé », la mauvaise nounou. Dès ton plus jeune âge, tu as été jugée différente Faith. Dès ton plus jeune âge, on t’a exclue et on s’est mis à penser que tu avais juste beaucoup d’imagination. On te regardais si peu, on ne s’intéressait pas à toi et c’est sûrement à cause de cela, que tu as mis longtemps à comprendre tes congénères. Que tu as mis longtemps à aimer et qu’aujourd’hui t’en es littéralement malade. Tu t’es toujours sentie en marge, à part, différente et c’était un peu leur fautes… mais peut-être qu’ils avaient raison ?
Le collège a creusé le fossé ou ta tombe Faith ? Ta magie s’est libérée, doucement le plus souvent et parfois, brutalement… aussi vive que les coups et les mauvais tours qu’ils pouvaient te faire. Les larmes silencieuses qui roulent sur tes joues, en échos au silence de tes propres parents ; en échos à leur ignorance.
Il t’a fallu attendre les quatorze ans pour qu’il te trouve, pour qu’Ambrose te libère de cette prison qu’était « chez-toi ». C’est à ce moment-là que Faith a commencé à disparaître, pour laisser la place à Edith et commencer cette nouvelle vie à Hellébore.
Pas facile au début.
T’étais pas bien partie dans la vie, mais lui, il t’a vu. Il s’est approché et il t’a guidé, et aux travers de vos manques respectifs, de vos blessures personnelles et de son amitié, tu as goûté à l’Amour. Le vrai, celui avec un grand A. Puis ils ont été trois, quatre, cinq et six… vous vous êtes aimé passionnément à six, un peu comme on s’aime à deux. Et ils ont fini par partir, parce qu’ils ont grandi Edith et toi, tu es restée, parce que tu voulais ton diplôme.
C’est avec le cœur trop plein et à la fois trop vide, seule que tu t’es confronté à un nouveau démon. Un monstre qui te poursuit encore, s’accroche à tes chevilles et n’en démord pas. Un cours de divination et là ça tombe, comme la roue du Destin qui s’écroule sur elle-même : tu mourras à 19h24. Tu aurais pu passer au-dessus, surtout que ce n’est pas une malédiction, mais c’est tout comme… chaque jour, à l’heure fatidique, tu sens ton cœur battre plus fort, ton souffle t’échapper et la peur au ventre, tu attends.
Encore et encore, que les aiguilles pointent sur 19h25.
Tu sais pourtant que la mort fait partie du voyage, tu as eu mainte fois l’occasion de le découvrir en cours, mais qu’importe, cette terreur qui t’habite est trop grande.
La dixième année s’est finie.
Tu as fait tes valises et tu as parcouru un temps le monde, voyant, apprenant de nouvelles choses et n’ayant nul port ou t’arrêter définitivement. Pourtant Edith, tu les as bien cherchés, même un peu attendu, surtout lui… mais tu n’as rien trouvé.
Et tu as fini par rentrer.
Au seul endroit qui a été un peu chez toi.
Hellébore.
C'est donc moi, Chausson (Mo' ou Momo, si vous voulez), et voilà la DC de Ambre /o/ j'suis toujours une alien femelle de 23 ans et j'espère qu'Edith vous plaira ** amour sur vous les bebous ! (et merci à Max pour la ban)
Dernière édition par F. Edith Winchester le Mar 22 Sep - 23:55, édité 4 fois