Choi Olivia
surnom ;
Oli', Lili, Olive, Liv', Livia, c'est qu'il faut être original (pour attiser le regard de la reine).âge et date de naissance ;
dix-huit ans, née le vingt-sept juillet sous les feux de Séoul, dans les bras plus d'un père admiratif que d'une mère évanouie.origine ;
la génitrice est espagnole, donne à sa fille la langue, la peau, le père est coréen, offre le nom de famille enrichi, le goût des bijoux de milles feux.ascendance ;
sirène (elle rêve d'écailles sur ses jolies jambes, roses, pourpres, prunes)genre ;
princesse, bien sûr (femme)orientation sexuelle ;
bisexuelle (dans les têtes, dans les espoirs, dans les rêves, c'est qu'elle n'a de l'amour que la notion, de la passion tous les mets).maison ;
aconitsannée d'études ;
huitième annéedepuis ;
depuis ses dix ansoptions choisies ;
langage druidique, biologie magiqueson impression sur ambrose ;
quel étrange personnage, est-il roi? Oh, c'est un mage, un grand monsieur plein de sagesse. Les magiciens n'ont pas de sceptre, comme Merlin? Est-il immortel? Oh, il faut le surpasser, se prouver plus grande magicienne encore!son avis sur la magie ;
c'est probablement la meilleure révélation, la princesse qui s'ennuyait dans son château peut s'enfuir pour le bien du monde, pour soigner, pour guérir, pour revigorer. Elle a dans les mains toutes les cartes il lui faut les étaler.avatar ;
princesse bubblegum -adventure time (gowon, loona irl)animal totem ;
morpho bleu (la volupté incarnée)signe astrologique ;
lion (qui rugit en son cœur, force brute)catalyseur ;
sa voix (son chant, c'est la mélodie qui engloutit).matière favorite ;
magie de la terre (c'est que l'eau l'attire, la noie), biologie magique (et le sauvetage des marrées l'absorbe)familier ;
loutre, ne dirait-on pas un gros chien qui vient s'écraser sur ses cuisses? son nom, Perle (encore une princesse)particularités physiques ;
petit être d'un mètre soixante-six (c'est rond, c'est paire), elle a la chevelure des bonbons qui pend dans le dos sous les reins, elle a la repousse noire qui trahit la couleur barbe à papa, elle a les yeux sombres des puits d'Asie, elle a la peau plus bronzée qu'il n'y paraît, la voix grave, doigts fins. Grâcieux petit lutin, la voix en élévation superbe, chant de sirène attire par la candeur, les sourires, les mimiques, repousse par les crocs, les visages défaits des démons. Elle a les tatouages dans les petits coins des bras, des hanches, de la nuque, elle se veut rose bonbon toute noire d'encre de chine.groupe sanguin ;
O+tics et manies ;
souffle souvent du nez, certains croiraient qu'elle est souvent énervée, vexée, stressée, la réalité est toute autre : elle ne s'en rend pas compte; chantonne à chaque occasion, elle a la voix des sirènes douces, des sirènes amoureuses; s'exclame toujours d'un rire cristallin quand elle gagne, est heureuse, gênée.passions ;
elle chante, elle adore ça, elle danse, elle s'élance, elle a le sport, l'activité, l'hyperactivité dans tous ses gestes, tantôt dans les eaux du lac, tantôt dans un marathon du tour de l'école, ça détend, ça allège, drôle de manège.phobie ;
l'amour, finalement, c'est qu'elle a la contradiction en amante (aussi).but ;
la magie guérit tous les maux, c'est qu'elle aimerait en user sur toutes les maladies du monderêve ;
oh, elle ne sait plus, elle en a trop, ça change tous les jours, ça change chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Mais les grands rêves sont pour les grandes personnes.régime alimentaire ;
homnivoresnack préféré ;
les chewing-gums, elle en a de tous les parfums possibles dans ses poches, dans ses tiroirs, dans ses armoires, sous son matelas...boisson préférée ;
thé à la fraise (l'odeur sucrée du fruit alléchant a tendance à l'attirer, étrangement)caractère
Olivia sonne rond, sonne creux, sonne perfection. C'est le nom de la princesse, c'est le nom de ce qui est adroit, de ce qui est enrobé des plus belles parures. Mais les princesses qui n'ont de gardes sont les plus sauvages, sont celles qui se vengent en coupant la tête dans les jardins de roses blanches. Ne lui marchez pas sur les pieds, ce n'est écrit sur son joli front, mais elle tendrait les lèvres d'un baiser passionné pour vous engloutir tout entier, les dents plantées entre deux chaires. Douceurs écarlates, elle se repaît du sang de ceux dont le nom écorche le fond des gorges car elle a la haine en armure et les beaux sourires pour en divertir. Oh, c'est qu'on ne connaît la véritable nature de ses beaux sourires, c'est qu'ils ont des sens dissimulés dans le fond de ses songes. On veut lui plaire, ô belle sirène, mais elle a le beau chant et les belles dents, il faut savoir l'approcher et elle se fera toute petite boule d'amour, vous savez.
Elle n'a l'amour qu'en parure, en change tous les jours, toutes les semaines, la lune maîtresse des émotions (c'est elle, la véritable amante). Elle a les haines en perpétuel changements, les cris hauts les cœurs, les émotions si facilement lisibles, les joues colorées de chaque parole dérobée. Ses joies se font en quelques exclamations de bonne humeur, ses peines se font en larmes de crocodiles (par milliers sur le joli minois), ses colères en hurlements du fond des gorges aux jolies notes. On entend Olivia où qu'elle passe, il suffit de suivre quelques regards, d'entendre la voix forte, de remarquer la chevelure bonbon. Oh, on ne peut la louper, Olivia, ne laisserait d'ailleurs personne l'oublier. Et ses bonheurs et sourires par milliers, et les offre à qui le veut bien. Et son cœur, elle le tend à tout un chacun.
Elle n'a l'amour qu'en parure, en change tous les jours, toutes les semaines, la lune maîtresse des émotions (c'est elle, la véritable amante). Elle a les haines en perpétuel changements, les cris hauts les cœurs, les émotions si facilement lisibles, les joues colorées de chaque parole dérobée. Ses joies se font en quelques exclamations de bonne humeur, ses peines se font en larmes de crocodiles (par milliers sur le joli minois), ses colères en hurlements du fond des gorges aux jolies notes. On entend Olivia où qu'elle passe, il suffit de suivre quelques regards, d'entendre la voix forte, de remarquer la chevelure bonbon. Oh, on ne peut la louper, Olivia, ne laisserait d'ailleurs personne l'oublier. Et ses bonheurs et sourires par milliers, et les offre à qui le veut bien. Et son cœur, elle le tend à tout un chacun.
histoire
Les cheveux ébènes malmenés par l'air salin. Le souvenir le plus pesant, le plus présent. C'est la vie sur le bord des océans, à se perdre à l'horizon des vagues d'azur éternelles. La grande maison bleue qui s'élève, les rires enfantins des frères et sœurs, et elle, petite princesse, trempe les pieds dans l'eau froide, secoue le bout des orteils, se fiche de la température trop fraîche. C'est qu'elle est la seule courageuse à s'élancer contre le vent, contre le temps. Elle tend les bras en avant, glisse les doigts entre quelques gouttes, les fait rouler sur la peau matte, les ramène sur sa chevelure corbeau. Olivia a le sel en armure, de cette journée si proche de la mer allemande, à son contact même. Il y a une exclamation de surprise derrière elle, elle redresse la tête, elle tend les jambes, trempée. C'est Maria, elle grelotte de froid à observer sa grande sœur s'engouffrer entre deux flots.
« Je vais le dire à maman, tu avais promis de ne pas aller te baigner aujourd'hui! »
Les enfants ont la langue qui pend de trop, et Olivia hausse les épaules. Qu'elle aille donc le dire. Maman n'a d'autorité que sur Maria et Elio. Olivia, elle, est la petite protégée de la fratrie, la préférée de papa, celle qui boude à table et qui obtient quelques paroles réconfortantes, quelques excuses. Oh, elle en joue, fait la princesse, les autres, laquais. C'est elle qui gagne toujours, au final, alors qu'importe. Mais elle a raison, maria, il fait bien froid. Alors sort de l'eau, enfile la robe qu'elle a laissé traîner sur les bords des plages.
« Voilà, il n'y a plus rien à dire, maintenant. Retourne faire tes châteaux de sable et fiche moi la paix. »
Et Maria grogne, tape du pieds mais s'en retourne, s'en va. Et c'est tant mieux, la princesse n'a pas que ça à faire, de s'occuper de quelques fourmis malheureuses aux paroles acerbes.
Et c'est que parmi tous les souvenirs, il y a les querelles des géniteurs, les cris lancés trop forts pour les oreilles sourdes des petits, mais pas pour celles d'Olivia, qui observe tous les soirs du coin de l’œil la fourchette de maman qui tremble entre ses doigts, le couteau de papa qui tranche la viande avec acharnement. Et elle accepte celle que l'on remet dans le creux de son assiette, se tait bien, se fait toute droite, réclame une histoire ce soir-là, à papa. Et entre deux lignes des contes d'Ariel, elle lui attrape le poignet, et demande, presque innocemment :
« Alors, tu n'aimes pas maman? »
Parce que l'autre jour, il parlait avec cette femme, dehors, et elle l'a vu au travers des rideaux tous fins, elle l'a observé, depuis derrière la grande baie vitrée. Elle n'a rien d'innocent, finalement, c'est que sa curiosité n'est pas assouvie, c'est qu'elle se demande, elle, pourquoi il ne quitte pas maman s'il ne l'aime plus. Elle, à l'école, elle aime beaucoup de monde, elle a beaucoup de petit.e.s ami.e.s, mais ne leur ment pas sur ses sentiments, est toujours très franche, toujours grand sourire quand elle dit : « Je ne suis plus amoureuse de toi, mais soyons copains. » Mais papa, lui, s'énerve un peu, lui demande ce qu'il lui prend, se lève avec vigueur et ne lui dit pas bonne nuit. Alors, il aime toujours maman?
Ambrose a un grand chapeau, dites donc. Ambrose a un grand chapeau, de beaux yeux, mais pas de sceptre. Et l'adolescente tend les yeux curieux, tend le nez vers les odeurs boisées. Une sirène, magicienne de surplus, elle? Oh, c'était donc ça, elle était Ariel depuis le début, à rêver des princes charmants sur les belles plages de sables fins quand elle ne pouvait en effleurer le bout des doigts. Elle avait la mer en amour (en amante), elle avait les lacs en rêves constants et la magie en rêve (Poudlard n'avait qu'à bien se tenir). Et elle, elle allait s'engouffrer dans le fond des océans sans la moindre hésitation, parce qu'elle voulait s'améliorer. C'est que la princesse pourrie gâtée s'envole loin du château dans lequel elle s'ennuie, et la voilà déjà reine de son tout nouveau royaume. Oh, la magie, quelle excellence, quel bonheur, c'est une délivrance. Mais l'adolescence qui vient avec tout cela n'est pas celle des plus aisées, car Olivia est bien difficile, bien caractérielle, et, si elle reste cette petite poupée dont l'on cherche la compagnie, elle est aussi cette peste qui fait fuir les pauvres fourmis. Oh, elle a le cœur brisé, l'âme arrachée quand ce n'est elle qui écrase les sentiments. Elle vit tellement pleinement, elle ressent si fort, Olivia, il lui est difficile, parfois, de respirer.
Ce n'est pas une surprise, quand elle rentre pendant ses vacances, quand elle ne voit pas sa mère qui vient la chercher, cette fois. C'est le chauffeur de papa, qui la ramène à la maison. Il n'y a pas Maria, il n'y a pas Elio. Maman a décidé de mettre fin à la mascarade, papa est dévasté, mais Olivia sait que ce ne sont ses sentiments qui le sont, simplement cette façade brisée de ce que l'on se bourre dans la tête. Et elle comprend si bien, si aisément, que, en retournant à l'école cet été ci, l'ébène est devenu bonbon. Les bains dans les fonds de porcelaines aux heures interminables sont ces goulées d'air frais entre quelques vases du lac. Les lectures des contes de fées devenues marathon des bois. Il faut s'évader de ses propres pensées, de ses propres amours en désillusions, Olivia, monte sur le trône mais ne te penche pas trop, tu pourrais bien couler (ironique sirène).
« Je vais le dire à maman, tu avais promis de ne pas aller te baigner aujourd'hui! »
Les enfants ont la langue qui pend de trop, et Olivia hausse les épaules. Qu'elle aille donc le dire. Maman n'a d'autorité que sur Maria et Elio. Olivia, elle, est la petite protégée de la fratrie, la préférée de papa, celle qui boude à table et qui obtient quelques paroles réconfortantes, quelques excuses. Oh, elle en joue, fait la princesse, les autres, laquais. C'est elle qui gagne toujours, au final, alors qu'importe. Mais elle a raison, maria, il fait bien froid. Alors sort de l'eau, enfile la robe qu'elle a laissé traîner sur les bords des plages.
« Voilà, il n'y a plus rien à dire, maintenant. Retourne faire tes châteaux de sable et fiche moi la paix. »
Et Maria grogne, tape du pieds mais s'en retourne, s'en va. Et c'est tant mieux, la princesse n'a pas que ça à faire, de s'occuper de quelques fourmis malheureuses aux paroles acerbes.
Et c'est que parmi tous les souvenirs, il y a les querelles des géniteurs, les cris lancés trop forts pour les oreilles sourdes des petits, mais pas pour celles d'Olivia, qui observe tous les soirs du coin de l’œil la fourchette de maman qui tremble entre ses doigts, le couteau de papa qui tranche la viande avec acharnement. Et elle accepte celle que l'on remet dans le creux de son assiette, se tait bien, se fait toute droite, réclame une histoire ce soir-là, à papa. Et entre deux lignes des contes d'Ariel, elle lui attrape le poignet, et demande, presque innocemment :
« Alors, tu n'aimes pas maman? »
Parce que l'autre jour, il parlait avec cette femme, dehors, et elle l'a vu au travers des rideaux tous fins, elle l'a observé, depuis derrière la grande baie vitrée. Elle n'a rien d'innocent, finalement, c'est que sa curiosité n'est pas assouvie, c'est qu'elle se demande, elle, pourquoi il ne quitte pas maman s'il ne l'aime plus. Elle, à l'école, elle aime beaucoup de monde, elle a beaucoup de petit.e.s ami.e.s, mais ne leur ment pas sur ses sentiments, est toujours très franche, toujours grand sourire quand elle dit : « Je ne suis plus amoureuse de toi, mais soyons copains. » Mais papa, lui, s'énerve un peu, lui demande ce qu'il lui prend, se lève avec vigueur et ne lui dit pas bonne nuit. Alors, il aime toujours maman?
Ambrose a un grand chapeau, dites donc. Ambrose a un grand chapeau, de beaux yeux, mais pas de sceptre. Et l'adolescente tend les yeux curieux, tend le nez vers les odeurs boisées. Une sirène, magicienne de surplus, elle? Oh, c'était donc ça, elle était Ariel depuis le début, à rêver des princes charmants sur les belles plages de sables fins quand elle ne pouvait en effleurer le bout des doigts. Elle avait la mer en amour (en amante), elle avait les lacs en rêves constants et la magie en rêve (Poudlard n'avait qu'à bien se tenir). Et elle, elle allait s'engouffrer dans le fond des océans sans la moindre hésitation, parce qu'elle voulait s'améliorer. C'est que la princesse pourrie gâtée s'envole loin du château dans lequel elle s'ennuie, et la voilà déjà reine de son tout nouveau royaume. Oh, la magie, quelle excellence, quel bonheur, c'est une délivrance. Mais l'adolescence qui vient avec tout cela n'est pas celle des plus aisées, car Olivia est bien difficile, bien caractérielle, et, si elle reste cette petite poupée dont l'on cherche la compagnie, elle est aussi cette peste qui fait fuir les pauvres fourmis. Oh, elle a le cœur brisé, l'âme arrachée quand ce n'est elle qui écrase les sentiments. Elle vit tellement pleinement, elle ressent si fort, Olivia, il lui est difficile, parfois, de respirer.
Ce n'est pas une surprise, quand elle rentre pendant ses vacances, quand elle ne voit pas sa mère qui vient la chercher, cette fois. C'est le chauffeur de papa, qui la ramène à la maison. Il n'y a pas Maria, il n'y a pas Elio. Maman a décidé de mettre fin à la mascarade, papa est dévasté, mais Olivia sait que ce ne sont ses sentiments qui le sont, simplement cette façade brisée de ce que l'on se bourre dans la tête. Et elle comprend si bien, si aisément, que, en retournant à l'école cet été ci, l'ébène est devenu bonbon. Les bains dans les fonds de porcelaines aux heures interminables sont ces goulées d'air frais entre quelques vases du lac. Les lectures des contes de fées devenues marathon des bois. Il faut s'évader de ses propres pensées, de ses propres amours en désillusions, Olivia, monte sur le trône mais ne te penche pas trop, tu pourrais bien couler (ironique sirène).
Moi c'est koerry, mais olivia et tous tyypes de surnom ça me va, héhé! En tout cas, je suis tombée sur ce fo grâce à un parto et puis ça fait deux semaines je vous lorgne dessus (Violette m'a convaincue). J'aime dessiner, je suis dispo très aléatoirement, et je vous aime vous, bien évidemment.
Dernière édition par Olivia Choi le Dim 6 Sep - 20:14, édité 7 fois