Gabby Vasilis
surnom ;
Gab ; autrefois Snake Face par quelques pouffiasses jalouses quand elle était étudianteâge et date de naissance ;
29 ans, née le 21 décembreorigine ;
anglaiseascendance ;
gorgonegenre ;
fémininorientation sexuelle ;
bisexuelleancienne maison ;
helvellemétier ;
grainothécairedepuis ;
3 ansson impression sur ambrose ;
son excentricité pique sa curiosité ; il entretient le mystère et elle compte bien essayer d'en apprendre plus sur luison avis sur la magie ;
gab est heureuse de faire partie de ce monde, comme un secret qu’elle chérit et qu’elle protègeavatar ;
lottie person ; snotgirlanimal totem ;
anaconda vertsigne astrologique ;
sagittaire, ascendant viergecatalyseur ;
une bague en forme de serpent enroulée autour de son doigtmatière favorite ;
préservation du monde fantastiquefamilier ;
un python royal femme répondant au doux nom de Sintara ; il n’est pas rare de la voir autour du cou de Gabby, ou s’entortillant sur son bras.particularités physiques ;
une beauté à couper le souffle ; peau d’albâtre et de velours ; iris mordorées ; crinière toujours teinte en verte ; aime porter des breloques tintinnabulantes autour de ses poignets ; porte des lunettes pour lire lorsqu’elle est fatiguéetics et manies ;
parler toute seule à voix haute ; fixer intensément les gens avec ses grands yeux clairs ; lever le petit doigt lorsqu’elle porte une tasse ; claquer sa mâchoire lorsqu’elle est contrariée ; s’observer tous les matins dans le miroir, à la recherche de la moindre ridepassions ;
les serpents ; la botanique ; les plantes magiquesphobie ;
vieillir, voir sa peau de velours se craqueler sous les signes du temps, sa beauté se faner jusqu’à ce qu’elle ne reconnaisse plus son reflet, perdre toute insouciance, sentir le poids de l’âge sur ses articulations ; ses 30 ans approchent et l’angoissentbut ;
trier, classer, ranger toutes les graines de la grainothèquerêve ;
adopter toujours plus de serpentsrégime alimentaire ;
omnivore avec un bel appétit pour son gabarit ; n’est vraiment pas une adepte de la viande rouge et déteste les abricotssnack préféré ;
des insectes grillés, qu’elle partage parfois avec ses petits protégésboisson préférée ;
thé épicé, sans sucrecaractère
Beaucoup de tempérament ▲ Son bureau personnel se perd sous les grimoires, parchemins, flacons et babioles ; Mais très méticuleuse à la grainothèque ▲ Aime être remarquée mais se prête rarement au jeu de la séduction ▲ Marche souvent pied-nus ▲ Très à l’aise avec la technologie mais trop sensibles aux migraines ▲ Adore écouter les histoires des serpents qui lui rendent visite ; Frustrée de ne pas pouvoir échanger avec eux ▲ Très taquine, particulièrement avec les élèves ▲ Parle souvent à voix haute, seule ▲ Du genre franche et peu diplomate ▲ Absolument pas rancunière ▲ Un côté fleur bleue dissimulé ▲ Tendance râleuse ▲ Difficultés à comprendre le principe “d’espace personnel”, à savoir très tactile et très indiscrète ; Rire cristallin ▲ Oreille attentive, toujours disponible pour aider quiconque semble en avoir besoin ; Quitte à être un peu trop envahissante ▲ Observe toujours son reflet lorsqu’elle passe devant un miroir ; Possède une quantité phénoménale de baumes, onguents et potions, pour prendre soin de sa peau ▲ Prend un bain de minuit à chaque pleine lune ▲ Aime flâner dans la serre ▲ Ne veut pas vieillir et compense avec un comportement plutôt immature
C’est une angoisse sourde, constante. L’angoisse du temps qui passe, inexorablement. L’angoisse du poids des années qui s’accumulent. L’angoisse de voir sa beauté se faner, disparaître lentement, sans jamais rien pouvoir y faire. De voir les rides s’accumuler sur sa peau si fine et si douce, de sentir ses articulations craquer. De ne plus être capable de jouer l’enfant. Gabby est terrorisée, terrorisée à l’idée de vieillir. Alors elle compense comme elle le peut, avec un comportement souvent immature. Elle taquine beaucoup, elle râle, elle jure, elle fait de grands gestes, elle parle fort. Elle se plait à écouter les étudiants qui lui racontent les derniers potins à la mode, elle échafaude des théories farfelues avec eux. Elle fuit l’engagement comme la peste, se contentant de flirts innocents. Mais à chaque fois qu’elle passe devant un miroir, toujours le même rituel. Profil gauche, profil droit, inspection des coins des yeux, étirement de la peau du bout des doigts. Et dans sa tête, la vérification de tous ses baumes, onguents, lotions, potions, pour déterminer lesquels appliquer le soir venu. A chaque fois. Non pas par narcissisme mais pour tenter de se rassurer. Une journée de moins avant qu’elle n’atteigne ses 30 ans. Fichtre.
Mais au-delà des apparence, Gabby est une femme forte et fière. Passionnée par les serpents depuis sa plus tendre enfance, elle se plait à écouter leurs histoires. Frustrée de ne pas pouvoir leur parler, elle leur répond tout de même, avec forces hochements de têtes. Gabby est d’ailleurs très douée pour écouter. Oreille compatissante, elle a aménagé un petit coin dans la grainothèque pour se poser et prendre le thé avec quiconque aurait besoin de parler. La jeune femme a d’ailleurs tendance à être un peu envahissante lorsqu’elle a le sentiment que quelqu’un ne va pas bien. Le concept d’espace personnel est un peu flou, tant elle peut être tactile et indiscrète.
Il n’est pas bien compliqué de l’irriter, la demoiselle aux serpents. Quelque peu susceptible, elle a tendance à vite monter sur ses grands chevaux et tourner les talons avec une envolée de crinière, un juron entre les lèvres. Fort heureusement, elle n’est absolument pas rancunière et reviendra vite vers la personne incriminée. En revanche, il ne faut pas espérer des excuses ou la moindre allusion au conflit de sa part. Elle a plutôt tendance à l’éviter autant qu’elle le peut. Sa technique de fuite préférée étant de faire comme s’il ne s’était rien passé … et de s’agacer de nouveau, lorsque l’autre tente d’en parler avec elle. Parce qu’elle a encore le droit de jouer l’enfant. Elle n’a pas encore 30 ans, après tout ...
C’est une angoisse sourde, constante. L’angoisse du temps qui passe, inexorablement. L’angoisse du poids des années qui s’accumulent. L’angoisse de voir sa beauté se faner, disparaître lentement, sans jamais rien pouvoir y faire. De voir les rides s’accumuler sur sa peau si fine et si douce, de sentir ses articulations craquer. De ne plus être capable de jouer l’enfant. Gabby est terrorisée, terrorisée à l’idée de vieillir. Alors elle compense comme elle le peut, avec un comportement souvent immature. Elle taquine beaucoup, elle râle, elle jure, elle fait de grands gestes, elle parle fort. Elle se plait à écouter les étudiants qui lui racontent les derniers potins à la mode, elle échafaude des théories farfelues avec eux. Elle fuit l’engagement comme la peste, se contentant de flirts innocents. Mais à chaque fois qu’elle passe devant un miroir, toujours le même rituel. Profil gauche, profil droit, inspection des coins des yeux, étirement de la peau du bout des doigts. Et dans sa tête, la vérification de tous ses baumes, onguents, lotions, potions, pour déterminer lesquels appliquer le soir venu. A chaque fois. Non pas par narcissisme mais pour tenter de se rassurer. Une journée de moins avant qu’elle n’atteigne ses 30 ans. Fichtre.
Mais au-delà des apparence, Gabby est une femme forte et fière. Passionnée par les serpents depuis sa plus tendre enfance, elle se plait à écouter leurs histoires. Frustrée de ne pas pouvoir leur parler, elle leur répond tout de même, avec forces hochements de têtes. Gabby est d’ailleurs très douée pour écouter. Oreille compatissante, elle a aménagé un petit coin dans la grainothèque pour se poser et prendre le thé avec quiconque aurait besoin de parler. La jeune femme a d’ailleurs tendance à être un peu envahissante lorsqu’elle a le sentiment que quelqu’un ne va pas bien. Le concept d’espace personnel est un peu flou, tant elle peut être tactile et indiscrète.
Il n’est pas bien compliqué de l’irriter, la demoiselle aux serpents. Quelque peu susceptible, elle a tendance à vite monter sur ses grands chevaux et tourner les talons avec une envolée de crinière, un juron entre les lèvres. Fort heureusement, elle n’est absolument pas rancunière et reviendra vite vers la personne incriminée. En revanche, il ne faut pas espérer des excuses ou la moindre allusion au conflit de sa part. Elle a plutôt tendance à l’éviter autant qu’elle le peut. Sa technique de fuite préférée étant de faire comme s’il ne s’était rien passé … et de s’agacer de nouveau, lorsque l’autre tente d’en parler avec elle. Parce qu’elle a encore le droit de jouer l’enfant. Elle n’a pas encore 30 ans, après tout ...
histoire
Allons, vous devez juste être fatiguée c’est tout.
Mais je vous assure, j’ai vraiment vu -
Je suis certaine que ce n’était que le reflet d’une lampe dans la pièce, Jane. Il n’y a vraiment pas de quoi en faire toute une histoire.
…
Tenez, pour votre peine, 20 livres de plus pour la soirée. Votre mère passe vous prendre ou souhaitez-vous que Georges vous raccompagne ?
Une fois la baby-sitter partie, Elizabeth se laissa tomber dans le fauteuil du salon. Ses bras négligemment posés sur les accoudoirs, les épaules voûtées, la nuque basse. Elle poussa un long soupir en relevant la tête, ses yeux se posant sur l’armoire en face d’elle. Un verre. Elle en avait besoin. Et un seul ne serait certainement pas suffisant. Se levant péniblement, faisant claquer ses talons au sol, elle ouvrit la large porte en chêne et attrapa la première bouteille qui effleura ses doigts délicats. Du gin. Ça fera l’affaire. Elle s’en servit un verre presque plein, ne prit même pas la peine de refermer le placard et retourna s’échouer sur le fauteuil. Levant le récipient vers le ciel, un rictus sur les lèvres.
A ta santé, maman. Merci pour le cadeau empoisonné.
Portant le verre à ses lèvres, elle but deux longues gorgées. Fermant les yeux en retenant une grimace, elle apprécia autant que détesta le goût âpre de l’alcool sur son palais, la chaleur qu’il produisit en descendant dans sa gorge. Comment avait-elle pu être aussi stupide ? Bien sûr, que Gabby avait hérité de ses gênes. Après tout, elle était bien à demi gorgone. Comment aurait-il en être autrement ? Un nouveau soupir, une nouvelle gorgée. Et maintenant ? Elle ne pouvait pas empêcher Gab de manifester sa colère. La seule chose qu’elle pouvait contrôler, en revanche … Elizabeth termina son verre d’une traite, le faisant claquer sur la petite table à côté d’elle. Oui. Tant pis. Elle ne pouvait pas prendre le risque que ça se reproduise. Elle ne pouvait pas prendre le risque qu’elle se fasse remarquer.
Désormais, Gabby, tu ne quitteras plus la maison. Et moi non plus.
Mais je vous assure, j’ai vraiment vu -
Je suis certaine que ce n’était que le reflet d’une lampe dans la pièce, Jane. Il n’y a vraiment pas de quoi en faire toute une histoire.
…
Tenez, pour votre peine, 20 livres de plus pour la soirée. Votre mère passe vous prendre ou souhaitez-vous que Georges vous raccompagne ?
Une fois la baby-sitter partie, Elizabeth se laissa tomber dans le fauteuil du salon. Ses bras négligemment posés sur les accoudoirs, les épaules voûtées, la nuque basse. Elle poussa un long soupir en relevant la tête, ses yeux se posant sur l’armoire en face d’elle. Un verre. Elle en avait besoin. Et un seul ne serait certainement pas suffisant. Se levant péniblement, faisant claquer ses talons au sol, elle ouvrit la large porte en chêne et attrapa la première bouteille qui effleura ses doigts délicats. Du gin. Ça fera l’affaire. Elle s’en servit un verre presque plein, ne prit même pas la peine de refermer le placard et retourna s’échouer sur le fauteuil. Levant le récipient vers le ciel, un rictus sur les lèvres.
A ta santé, maman. Merci pour le cadeau empoisonné.
Portant le verre à ses lèvres, elle but deux longues gorgées. Fermant les yeux en retenant une grimace, elle apprécia autant que détesta le goût âpre de l’alcool sur son palais, la chaleur qu’il produisit en descendant dans sa gorge. Comment avait-elle pu être aussi stupide ? Bien sûr, que Gabby avait hérité de ses gênes. Après tout, elle était bien à demi gorgone. Comment aurait-il en être autrement ? Un nouveau soupir, une nouvelle gorgée. Et maintenant ? Elle ne pouvait pas empêcher Gab de manifester sa colère. La seule chose qu’elle pouvait contrôler, en revanche … Elizabeth termina son verre d’une traite, le faisant claquer sur la petite table à côté d’elle. Oui. Tant pis. Elle ne pouvait pas prendre le risque que ça se reproduise. Elle ne pouvait pas prendre le risque qu’elle se fasse remarquer.
Désormais, Gabby, tu ne quitteras plus la maison. Et moi non plus.
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Les non-dits. Ces secrets de famille qui empoisonnent l’esprit. Qui poussent une mère à retenir son enfant captive, la protégeant du monde extérieur autant que protégeant le monde d’elle. Jusqu’à ce qu’une colère trop forte éclate. Jusqu’à ce que l’enfant se rebelle et décide de fuir. Jusqu’à ce qu’elle revienne, pleurant, la queue entre les jambes, suppliant d’avoir une raison, une explication à tout ça. Ce ne fut qu’à l’âge de ses 14 ans que Gabby sut enfin ce qu’elle était. D’ascendance gorgone, elle avait hérité sa beauté de sa grand-mère et de sa mère après elle. Une beauté qui avait un prix à payer. Si son tribut n’était pas mortel, celui de son aïeule l’avait été, au point qu’elle avait un jour figé son propre époux. Elle en était morte de chagrin.
La surprise se mêla à la tristesse, l’incompréhension, la colère. Un déferlement de sentiments, trop longtemps enfouis, qui se devaient d’exploser. Elle n’était pas responsable de tout ça. Et tout ça pour quoi ? C’était à cause du risque de figer quelqu’un pendant quelques instants, à peine, qu’on l’enfermait depuis tout ce temps ? Pour ce tribut qui l’avait protégé quelques heures auparavant, de ce monstre à l’haleine fétide ? Ce n’était pas elle, qui avait peur. C’était sa mère. Mais peur de quoi, bon sang ? Elle l’avait retenue captive toute sa vie, juste pour ça ? Elle l’avait empêché d’aller à l’école, de se faire des amis, de connaître ce monde, juste pour ça ?! Rage bouillonnante, qui n’avait fait que graviter en surface jusqu’à lors et qui s’épanchait enfin. Comme s’il avait entendu, comme s’il avait été invoqué, ce fut à ce moment qu’Ambroise frappa à la porte. Comme un soufflé qui retombe. Gabby accepta immédiatement la proposition.
Les années à Hellebore furent les plus belles qu’elle ait jamais vécu. Gabby se prit de passion pour l’étude de la flore, la botanique, les plantes magiques. Elle en fit même sa spécialisation. Autant par vocation que mue par le désir de rester encore quelques années de plus entre ces murs, qui étaient désormais devenus sa maison. Lorsque vint le moment de quitter l’école, elle eut un véritable pincement au cœur. Mais, désormais, le monde n’attendait plus qu’elle. Il n’y avait plus d’Elizabeth pour la garder captive, plus de murs qu’elle n’était capable de franchir. Alors elle partit. Elle prit le premier avion qu’elle trouva à l’aéroport, ignorant tout de sa destination. Peu importe. Elle vagabonda ainsi de pays en pays, durant de longs mois. Découvrant de nouveaux paysages, de nouvelles cultures, de nouvelles têtes. Savourant sa liberté. Jusqu’à ce qu’elle se lasse doucement, que le mal du pays se fasse ressentir. De retour en terrain connu, elle eut bien vite fait de se rendre compte que le monde moderne ne lui convenait plus. Trop de bruit, trop d’agitations, trop de technologies. Quoi de plus naturel alors, que de se tourner vers ce lieu qu’elle considérait comme sa maison, vers ce lieu qui l’avait délivré, qui lui avait rendu ses ailes. A l’aube de ses 26 ans, elle retourna à Hellebore, désormais en charge de la grainothèque. Qu'il était bon, de rentrer chez soi.
La surprise se mêla à la tristesse, l’incompréhension, la colère. Un déferlement de sentiments, trop longtemps enfouis, qui se devaient d’exploser. Elle n’était pas responsable de tout ça. Et tout ça pour quoi ? C’était à cause du risque de figer quelqu’un pendant quelques instants, à peine, qu’on l’enfermait depuis tout ce temps ? Pour ce tribut qui l’avait protégé quelques heures auparavant, de ce monstre à l’haleine fétide ? Ce n’était pas elle, qui avait peur. C’était sa mère. Mais peur de quoi, bon sang ? Elle l’avait retenue captive toute sa vie, juste pour ça ? Elle l’avait empêché d’aller à l’école, de se faire des amis, de connaître ce monde, juste pour ça ?! Rage bouillonnante, qui n’avait fait que graviter en surface jusqu’à lors et qui s’épanchait enfin. Comme s’il avait entendu, comme s’il avait été invoqué, ce fut à ce moment qu’Ambroise frappa à la porte. Comme un soufflé qui retombe. Gabby accepta immédiatement la proposition.
Les années à Hellebore furent les plus belles qu’elle ait jamais vécu. Gabby se prit de passion pour l’étude de la flore, la botanique, les plantes magiques. Elle en fit même sa spécialisation. Autant par vocation que mue par le désir de rester encore quelques années de plus entre ces murs, qui étaient désormais devenus sa maison. Lorsque vint le moment de quitter l’école, elle eut un véritable pincement au cœur. Mais, désormais, le monde n’attendait plus qu’elle. Il n’y avait plus d’Elizabeth pour la garder captive, plus de murs qu’elle n’était capable de franchir. Alors elle partit. Elle prit le premier avion qu’elle trouva à l’aéroport, ignorant tout de sa destination. Peu importe. Elle vagabonda ainsi de pays en pays, durant de longs mois. Découvrant de nouveaux paysages, de nouvelles cultures, de nouvelles têtes. Savourant sa liberté. Jusqu’à ce qu’elle se lasse doucement, que le mal du pays se fasse ressentir. De retour en terrain connu, elle eut bien vite fait de se rendre compte que le monde moderne ne lui convenait plus. Trop de bruit, trop d’agitations, trop de technologies. Quoi de plus naturel alors, que de se tourner vers ce lieu qu’elle considérait comme sa maison, vers ce lieu qui l’avait délivré, qui lui avait rendu ses ailes. A l’aube de ses 26 ans, elle retourna à Hellebore, désormais en charge de la grainothèque. Qu'il était bon, de rentrer chez soi.
Elodie ou Luhvyna, pour vous servir ! Senrhys m’a parlé du forum et je n’ai pas mis longtemps à craquer ~ Eternelle geek et passionnée de dinosaures qui galère à trouver du temps pour finir tous ses jeux depuis que les études sont finies. Et si par gladiateurs vous entendez Russell Crowe, je dis oui.
Dernière édition par Gabby Vasilis le Dim 23 Aoû - 14:44, édité 2 fois