maureen mc loughlin
surnom ;
momo.âge et date de naissance ;
17 ans, 2 octobre.origine ;
irlandaise.ascendance ;
troisième œil [testrp]genre ;
féminin (elle).orientation sexuelle ;
hétérosexuelle. i. Plus
maison ;
aconits.année d'études ;
7ème année.depuis ;
ses 11 ans.options choisies ;
langage druidique, divination.son impression sur ambrose ;
comme un rêve ; flottant, elle se souvient de son sourire énigmatique et de son chapeau pointu ; elle se souvient de son odeur et d'avoir cru en ses mots grâce au son de sa voix. seulement au son de sa voix.son avis sur la magie ;
un amour toxique ; elle y attache une certaine importance mais y retient le venin qui suce son énergie vital ; elle y retient la malédiction qui la suit comme un parasite depuis qu'elle est petite.avatar ;
raiponce, disney.animal totem ;
le corbeau.signe astrologique ;
balance ascendant bélier.catalyseur ;
son familier et quelques fois, ses cheveux.matière favorite ;
astronomie ou langage druidique.familier ;
un caméléon.particularités physiques ;
1m63 pour 54kg ; longue chevelure blonde toujours très bien coiffée ; grands yeux verts ; tâches de rousseurs ; bras relativement faibles mais jambes fortes ; accent assez particulier fait d’élision et de déformation ; voix chaude et caressante ; odeur capiteuse faite de notes marines.sa façon de porter l'uniforme ;
très simple, sans artifice ni extravagance ; il y a souvent des tâches de peinture ou de sang sur sa chemise bien qu'elle essaie toujours de les cacher ; elle porte toujours un bracelet violet à la cheville.groupe sanguin ;
A+tics et manies ;
a souvent une sucette dans la bouche pour éteindre son stress ; joue avec ses doigts comme si elle était devant un piano sans s'en rendre compte ; se gratte les cheveux lorsqu'elle réfléchit ; s'étire souvent, peut-être même trop souvent.passions ;
jouer de son instrument, le piano ; peindre ; étudier ou plutôt regarder les étoiles.phobie ;
devenir sourde.but ;
être.rêve ;
d'amour.régime alimentaire ;
omnivore ; elle grignote beaucoup mais ne mange que très rarement de véritables repas consistants.snack préféré ;
les sucettes à la cerise.boisson préférée ;
le thé chaud ou le jus à la cassis. ii. Personnalité
Maureen, elle paraît stupide. Quelque part, elle l'est. L'école a toujours été une souffrance pour elle, quelque chose qu'elle ne parvient pas à modeler selon ses règles. Alors, on dépeint son tableau comme une fille peu instruite et à l'esprit sot. Pourtant, peu de gens savent à quel point elle est douée en musique. En réalité, elle est une véritable prodige du piano. Ses mains glissent sur les touches avec la douceur des mains d'un amant ; elle s'entoure d'une aura lumineuse et chaleureuse lorsqu'elle joue.
Elle devient la prodige.
Maureen, c'est un sourire toujours collé sur les lèvres ; une jeune fille à la sociabilité égale à son charme et sa sympathie naturels. Il y a là un talent pour rendre la vie plus douce pour les autres, entre autres par le biais de sa chaleur.
À travers cette attitude se dessine néanmoins un besoin viscéral d'une cour d'admirateurs, né d'une volonté d'avoir toujours le beau rôle et poussé par le souhait d'incarner la gentillesse et la naïveté.
Finalement, on voit son intelligence.
Maureen, elle est toujours recouverte de blessures. Elle se bat souvent, incapable de se détacher de ses anciennes habitudes. Alors, on l'aime bien parce qu'elle est l'autre fille qui n'attire pas les autres garçons, celle au sourire et à la naïveté toujours collés aux lèvres, celle qui fait rire la galerie avec ses bagarres incongrues.
Et pourtant, personne ne connaît cette rage qui bouillonne constamment dans ses entrailles. Qui ronge, ronge et ronge son esprit à chaque instant. Personne ne remarque, au détour d'un de ses rires, les coups, coups et coups qui tapent, tapent et tapent dans son cœur. On évite de remarquer la musique qui trotte dans sa tête comme un vieil esprit du passé ; elle cogne pour rien mais toujours en rythme.
Qui pourrait deviner qu'elle exècre la violence ?
Maureen, c'est un corps. Un corps qu'elle partage avec beaucoup d'autres. Elle est faite de passion, de flamme et se plaît à aimer. Elle offre de sa personne à beaucoup mais peu partagent l'amour qu'elle recherche. Alors, elle vagabonde sans que personne ne sache que la bagarreuse écarte ses jambes par amour.
Un gars lui a dit ça, un jour. Elle se souvient avoir beaucoup ri pour ne pas pleurer ; elle se souvient qu'elle était étrangement soulagée qu'il n'en ait pas parlé et que son image reste intacte. Comme si c'était tout ce qui pouvait la blesser.
Ah ! Ce qu'il est dur de la faire vibrer.
iii. Histoire
— Tu joues bien, petite, s'exclame un homme.— Je sais, répond machinalement la petite.
Ses mains glissent sur le piano comme si elles n'en étaient qu'une extension. Son menton ne se relève pas pour regarder le mystérieux bonhomme à ses côtés ; elle se contente de terminer son long et difficile morceau comme si de rien n'était.
Elle sait.
C'est, en réalité, l'une des seules choses dont elle est certaine : elle joue bien. La musique, c'est ce qui porte son âme et lui donne des couleurs. Dans un autre tableau, elle n'est rien ; elle n'est plus. Maureen n'a pas appris à remercier les autres pour son art. Au contraire, elle a appris à être remerciée.
— Vous n'êtes pas censé être là, finit par dire la petite après un moment de silence. Sur scène.
— Je ne crois pas que tu sois censée être là, non plus.
Un craquement de dos. Et elle ose un regard, rien qu'un instant, vers l'homme.
Quelle drôle d'idée, songe-t-elle. C'est, après tout, ici où elle a le plus sa place.
La voilà qui glisse les dernières notes du morceau, non s'en avoir fini par ignorer le bonhomme à ses côtés. Il est étrange, avec son chapeau pointu et ses cheveux noirs.
Mais surtout, plus mystérieux encore...
— Vous avez une belle voix, monsieur.
La dernière note de musique résonne dans la salle vide. Et la petite pose enfin ses yeux dans ceux du bonhomme. Elle remarque également que son instructeur n'est plus dans l'immense salle. Tous les sièges sont vides et pourtant, l'homme se tient à ses côtés. Debout.
Il lui offre un sourire.
L'étranger ne se rend pas compte, mais elle vient de lui faire un compliment. Peut-être même le seul qu'elle est sincèrement capable de faire. Le seul qui a vraiment du sens, pour elle.
— Que sais-tu de la magie ? demande le bonhomme.
iv. Derrière l'écran
J'aime bien les raisins verts. C'est bon l'été mais j'aime bien aussi les mandarines et toussa l'hiver. Après j'aime aussi le jus à la cassis, je vous le conseille, c'est super acide et tout. Ou le fameux thé chaud de ma daronne, je vous jure qu'elle dead ça. C y a l a n a
Dernière édition par Maureen Mc Loughlin le Mar 15 Déc - 14:12, édité 4 fois