feat.
luka
scott
luka
scott
— Ahh, un soupire à la tonalité désemparée s’étaient échappées des lèvres de l’helvelle alors qu’elle plongeait son nez dans son uniforme, au niveau de ses bras. J’espère que je ne vais pas sentir cette odeur toute la journée, sinon quel échec, avait-elle ajouté discrètement, toujours avec ce même ton, profondément lassé.
Béatrice Rosenhart ne cessait de tirer sur ses vêtements pour respirer l’odeur qui s’en émanait, espérant que le parfum du foin autour d’elle ne la suive pas toute la journée. Car, voyez-vous, notre merveilleuse demoiselle n’était pas particulièrement fan de l’odeur qui émanait de l’écurie. Il ne s’agissait pas de son endroit préféré à Hellébore et, si elle le pouvait, elle se serait avec plaisir abstenue de se rendre dans ce bâtiment. Mais, l’entretien des animaux est de la responsabilité des élèves, et Béatrice est une élève parmi tant d’autres. Elle n’est donc pas dispensée de s’occuper de ces braves bêtes, même si elle n’aime pas particulièrement ces dernières.
Gratouillant avec satisfaction le museau d’une créature quelconque, c’est un quartier de pomme que Betty sort de sa poche, avec délicatesse pour ne pas effrayer la bête. Et, alors que l’animal semblait apprécier la donation de la demoiselle, un craquement dans son dos retint son attention.
— Te voilà, enfin, aucune brutalité n’était perceptible dans sa voix, quoiqu’elle se plaignait bel et bien auprès du nouvel arrivant. J’avais pourtant bien précisé “pas une seconde de retard”, non?
Avec la même délicatesse perceptible dans sa voix, Betty s’était tournée vers son interlocuteur, plongeant son regard océanique dans les prunelles vertes aux reflets brun du jeune homme à la peau mate. Et ses lèvres s’étirent gracieusement, ils dessinent un sourire sur son beau visage, un sourire à l’aspect pourtant sympathique, respirant une certaine innocence. Un sourire qui ne présage rien de ses pensées, ni de ce qu’elle comptait faire de lui dans les prochaines minutes — car tout se jouerait en minutes.
Doucement, elle avait tendu sa main vers lui, comme elle le ferait envers un animal pour ne pas l’effrayer.
Et sa voix avait de nouveau résonné entre eux.
— Approche-toi, Lulu, je ne vais pas te manger tu sais. Oh, peut-être préfères-tu que ce soit moi qui m’avance ? De toute façon, nous allons bouger dans un coin plus tranquille, à l’abri des regards si ça ne te dérange pas. Le sujet dont je veux te parler est assez urgent et surtout sérieux.
À la suite de ses paroles, bien plus froide, Béatrice s’était éloignée dans un coin de l'écurie.
Elle s’était éloignée avec une étrange lueur dans son regard.
Une lueur qui ne présageait définitivement rien de bon.
Béatrice Rosenhart ne cessait de tirer sur ses vêtements pour respirer l’odeur qui s’en émanait, espérant que le parfum du foin autour d’elle ne la suive pas toute la journée. Car, voyez-vous, notre merveilleuse demoiselle n’était pas particulièrement fan de l’odeur qui émanait de l’écurie. Il ne s’agissait pas de son endroit préféré à Hellébore et, si elle le pouvait, elle se serait avec plaisir abstenue de se rendre dans ce bâtiment. Mais, l’entretien des animaux est de la responsabilité des élèves, et Béatrice est une élève parmi tant d’autres. Elle n’est donc pas dispensée de s’occuper de ces braves bêtes, même si elle n’aime pas particulièrement ces dernières.
Gratouillant avec satisfaction le museau d’une créature quelconque, c’est un quartier de pomme que Betty sort de sa poche, avec délicatesse pour ne pas effrayer la bête. Et, alors que l’animal semblait apprécier la donation de la demoiselle, un craquement dans son dos retint son attention.
— Te voilà, enfin, aucune brutalité n’était perceptible dans sa voix, quoiqu’elle se plaignait bel et bien auprès du nouvel arrivant. J’avais pourtant bien précisé “pas une seconde de retard”, non?
Avec la même délicatesse perceptible dans sa voix, Betty s’était tournée vers son interlocuteur, plongeant son regard océanique dans les prunelles vertes aux reflets brun du jeune homme à la peau mate. Et ses lèvres s’étirent gracieusement, ils dessinent un sourire sur son beau visage, un sourire à l’aspect pourtant sympathique, respirant une certaine innocence. Un sourire qui ne présage rien de ses pensées, ni de ce qu’elle comptait faire de lui dans les prochaines minutes — car tout se jouerait en minutes.
Doucement, elle avait tendu sa main vers lui, comme elle le ferait envers un animal pour ne pas l’effrayer.
Et sa voix avait de nouveau résonné entre eux.
— Approche-toi, Lulu, je ne vais pas te manger tu sais. Oh, peut-être préfères-tu que ce soit moi qui m’avance ? De toute façon, nous allons bouger dans un coin plus tranquille, à l’abri des regards si ça ne te dérange pas. Le sujet dont je veux te parler est assez urgent et surtout sérieux.
À la suite de ses paroles, bien plus froide, Béatrice s’était éloignée dans un coin de l'écurie.
Elle s’était éloignée avec une étrange lueur dans son regard.
Une lueur qui ne présageait définitivement rien de bon.
tw. bullydésolée, c'pas terrible mais je suis contente d'rp avec toi
Dernière édition par Béatrice Rosenhart le Mar 8 Sep - 14:26, édité 8 fois